Et ils s’envoyèrent en l’air

Cette histoire de personnages de romans qui débarquent dans la réalité, c’est amusant. Et avec un peu de sexe, de chick-lit, de romance et de tranche de vie, ça pouvait faire une chouette salade de genres.
Mais bon, les sorcières et pis les formules magiques, à force de tirailler et tournicoter, c’est un truc à finir chauve.

Et ils s'envoyèrent en l'air de Elizabeth Maxwell
Et ils s’envoyèrent en l’air de Elizabeth Maxwell
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
L'existence de Sadie Fuller n'a rien d'un conte de fées. Divorcée d'un mari homo, mère d'une préado à l'humeur imprévisible, et amante régulière d'un cadre bedonnant rencontré par petites annonces, elle doit en outre donner le change à ses voisines, habitantes respectables de banlieue chic, qui la croient auteur de bluettes - alors que, en réalité, c'est avec des romans érotiques qu'elle gagne (largement) sa vie.

Quelle n'est pas sa surprise, un beau matin, de tomber nez à nez dans les rayons de son hypermarché avec l'un des héros qu'elle a créés : Aidan Hathaway, multimillionnaire sexy en diable, complètement paumé dans cette sordide réalité à mille lieues du glamour dans lequel il a toujours baigné...

Elizabeth Maxwell signe une comédie impertinente et loufoque, qui va à contre-courant des codes littéraires habituels en mélangeant et détournant les genres. Un livre qui vous fera pleurer de rire