Une icône de ma jeunesse s’en est allée
Un sourire incroyable pour une vie pas facile (euphémisme)
Et tes cheveux des 80’s… Woaw
Une icône de ma jeunesse s’en est allée
Un sourire incroyable pour une vie pas facile (euphémisme)
Et tes cheveux des 80’s… Woaw
Après avoir découvert Antoine Jaquier avec le sombre Ils sont tous morts, je continue avec cette exploration post-apocalyptique gore et hallucinée.
Suite à un grand effondrement des sociétés, Salvatore se réfugie dans son abri survivaliste au milieu d’une forêt dans les Vosges. Mais peut-on rester seul au monde ? Arrivent alors Mira et Alix et…
Un récit à la recherche de soi et des autres dans un monde ultraviolent et dévasté
Heureusement, il y a des drogues ?
Vous m’aviez perturbé avec votre zone d’intérêt et je m’étais alors promis de continuer à vous suivre…
Je m’en vais vite réparer ça
Un ex-boxeur violent, une girafe séquestrée, une remorque à paninis, des chiens de combat, des toxicos et des dealers, une amourette interdite et l’église qui processionne… Rien ne va dans cette chronique d’un désastre annoncé à la napolitaine.
Et ici, l’image est aussi trash que le propos.
Bienvenue dans l’Italie du Sud ou il faut payer le pizzo ou le payer très cher
Chesa Seraina c’est la Maison sereine, la maison d’enfance construite par son père et détruite par le flammes.
Elena décide de la reconstruire.
Et cette histoire de reconstruction, c’est toute celle de la construction et de l’appropriation de soi.
Un petit livre délicat à l’écriture sensible
Livre de tous ses livres, clé de compréhension, « celui qui les réunira tous » ?
Après l’écriture de Mon père, Grégoire Delacourt se lance dans l’écriture de celui-ci et creuse au plus profond de ses propres blessures. Pas de roman ni d’artifices.
Et, chose curieuse, alors que j’avais toujours vu en lui une sorte de peintre des émotions, il nous décrit son vide intérieur.
Un livre dur et beau. Une réconciliation, une (re)naissance
Dire que le père du narrateur (Pierre-Henry Gaumont ?) était dysfonctionnel serait un euphémisme. Alcoolique, colérique, emporté, manipulateur… Difficile de lui trouver des qualificatifs élogieux. Mais… C’était son père !
Oui, tout semble tourner autour de ça dans cette bande dessinée. Un père qui semble impardonnable et pourtant… ses enfants semblent incapables de lui en vouloir. Et même si cet album tente enfin de le démolir… cela semble peine perdue, il reste attachant.
Mais bon… on a pas trop demandé à l’ex-femme non plus.
Brillant !
Carnet de souvenirs, album de photos, croquis d’enfance… Ces coquelicots d’Irak sont un peu tout ça.
Brigitte Findkaly est née en Irak et elle nous raconte son enfance, sa famille, le travail de son père, la peur inhérente à la vie dans un régime autoritaire et des souvenirs pleins de candeur.
Un dessin magnifique au service d’une autobiographie pleine de poésie
D’un sujet dur et triste Alix Garin parvient à créer une bande dessinée douce et tendre, une prouesse !
La grand-mère de Clémence est dans un EHPAD, malade avec un Alzheimer. Elle y est malheureuse et désoeuvrée. Et pourtant, sa fille (la mère de Clémence) ne trouve pas d’autre solution. Clémence enlève sa grand-mère pour un road-trip, direction la maison de son enfance.
Un voyage rocambolesque et haut en émotions. Une réussite toute en poésie
Une femme au 19e part en Afrique. Une histoire féministe ou coloniale ? Qu’importe ! Un choc de cultures, des rencontres, des paysages, des personnes.
Un carnet de bord tout en images et en voix off.
Un dessin très inspiré avec un narration subtile… trop, peut-être, et je m’y suis finalement un peu perdu.
Faute à un propos peu inspiré, une vision colonialiste trop datée ou un manque d’action ?
Restent les images, superbes !