Bijou de banlieue

Inclassable et délirant. Intime, invraisemblable et tellement réel !

Bijou de banlieue de Sara Hébert

Sara Hébert convoque Bijou, son alter ego, pour nous causer de féminisme à la québécoise de banlieue. Une version punk et décomplexée pour visiter sa vie, ses journaux intimes et prodiguer de bons conseils. Vie professionnelle, drague, crushs lourdingues à virer, coups d’un soir, gestion des émotions, grand amour ou maternité.

Un festival de collages qui piquent les yeux, de portraits d’hommes et de relations merdiques, de souvenirs tendres ou chaotiques.

Enfin un manuel de développement personnel qui sent vrai et authentique. En bonus : ça fait bien marrer !

Et pour suivre les memes et collages de Sara Hébert il y a Instagram. Merci Madame Bijou !

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Coucou !
Auriez-vous, par hasard, de la difficulté à :
Vous faire confiance
Respirer
Décrocher
Prendre une décision
Vous choisir
Exiger votre dû
Vous affirmer
Foncer
Et savoir ce qui est bon pour vous ?


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Sara Hébert puise dans l’imaginaire punk, le langage des meetings AA et les souvenirs du mariage de sa mère afin de tracer les contours de sa vie amoureuse et professionnelle. De façon intime, touchante et combative, cette autofiction illustrée s’approprie les codes des guides de bienséance, des magazines féminins et manuels de croissance personnelle pour critiquer la positivité toxique, le mythe du prince charmant et la culture du travail sexiste. Elle espère, à travers ses textes et collages, vous aider à reprendre confiance en vous, à repenser vos rapports aux patrons et à vous libérer des hommes-bouées

Bon pour un jour de légèreté

Coincée par le premier confinement du COVID, Clémentine s’ennuie et joue avec l’actu et Photoshop

Bon pour un jour de légèreté de Clémentine Mélois

Et c’est parfois très drôle !

Et d’autres fois… ma foi, c’était une période difficile, mais avec des petits chats c’est quand même mieux.

Merci Clémentine !

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Est-il permis de rire d'une tragédie ? Avec tendresse et irrévérence, Clémentine Mélois met le confinement en images. À nous le paquet de chewing-gums goût chloroquine, le 45 tours d'Alain Gestes Barrière !
Plein de drôlerie et de poésie, parfois mordant, toujours désopilant, Bon pour un jour de légèreté nous rappelle que l'humour est la meilleure façon de rapprocher les êtres humains en mettant l'angoisse à distance

Petit guide local, équitable et lombricompostable de l’effondrement : semez aujourd’hui les graines du monde d’après

De nouveau très sympa, mais…

Petit guide local, équitable et lombricompostable de l’effondrement : semez aujourd’hui les graines du monde d’après de Emile Bertier, Yann Girard et Un faux graphiste

Oui, un petit mais, un petit bémol. Peut-être en attendais-je un peu trop, des rêves trop grands ou trop d’impatience. C’est toujours drôle, et pourtant il manque ce petit quelque chose qui faisait que c’était ovnique.

Peut être est-ce difficile d’être nouveau deux fois de suite. Le Petit guide pratique, ludique et illustré de l’effondrement : vivez la fin du monde dans la joie et la bonne humeur ! aurait-il suffit ?

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Une compilation d'histoires courtes, de strips, de blagues et de conseils décalés sur le thème de la fin de la civilisation humaine, réalisés à partir de comics américains libres de droit. Bob le surviveur, David Côtelette, Pablo de Sevignet, Jean-No le maraîcher, Père Giraud, Papa ours et Captain Fessenheim sont de retour

Les six fonctions du langage

C’est comme un roman photo avec les même couleurs dégueu qui bavent (même si Clémentine y est quand même allé un peu fort avec la bavure), les fonds studio, les coupes de cheveux seventies-eighties, les pattes d’ef’ au moules burnes blancs, les hommes à barbes et moustaches et les accessoires pourritch.

Les six fonctions du langage de Clémentine Mélois

Changent juste les textes, les mots, le verbe, le style et les fonctions du langage ! Et l’ordre et tout ça, tout ça… pour le plus grand plaisir des chanteurs de variété, Bourdieux, Nietzsche, Wittgenstein, la maman de Clémentine, tonton Dédé et Fifi le lutin farceur…

Un bonheur d’humour absurde, un grand détournement à l’américaine, une parodie indispensable !

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Des mots de l'action de la lascivité du suspense

Tellement réaliste qu'on peut presque toucher les larmes

Cent titres

Clémentine a une belle bibliothèque pleine de livres dont elle parle très bien dans Dehors, la tempête. Et Clémentine est aussi amusée qu’amusante quand elle partage dans cent titres sa collection de drôleries imaginaires.

Cent titres de Clémentine Mélois

Elle joue avec les noms, les titres, les illustrations, les sens et contre-allées et mélange les anachronismes avec la pop-culture… facétieuse !

Un seul doute m’habite… fallait-il tout expliquer ?

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Voici une étonnante bibliothèque. Clémentine Mélois y pastiche par l'image les classiques de la littérature. Lirons-nous aujourd'hui Maudit Bic, d'Herman Melville, ou Père et Gay, de Léon Tolstoï ? Au fait, quel philosophe a écrit le Crépuscule des idoles des jeunes ? Pour décrypter les anagrammes, contrepèteries, homophonies, permutations et autres astuces de ces cent titres, on passera de la culture classique à la culture populaire, puisant dans des souvenirs de lectures, de chansons, de publicités ou de films.

« Un récit servi par un talent éblouissant. »
Fiodor Dostoïevski

« Une sensibilité unique au monde. »
Antonin Artaud

« Ancienne élève des fac-similés, Clémentine Mélois n'a depuis cessé de les détourner avec malice et, disons-le simplement, génie. »
Bernard Pivot

Abécéd’hair Approxima’tif

C’est drôle, très !

Abécéd’hair Approxima’tif de Penseur étoile et Un Faux Graphiste

Rien à ajouter, ruez-vous dessus, prenez-en cinq ou six ! (plus une dizaine pour les offrir avant qu’on ne vous les vole)

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
120 jeux de mots, anagrammes, paronymes ou encore homophones

Un faux livre

Un faux livre et un faux livre tome 2 par Un faux graphiste. Un faux graphiste qu’on retrouve d’ailleurs dans le brillantissime le petit guide de l’effondrement.

Un faux livre de Un faux graphiste

Anciens comics détournés, gravures, images d’Épinal… tout y passe et ça fait du bien, même si parfois l’excès pourrait nuire et lasser. Des BD à feuilleter plus qu’à dévorer

Un faux livre, tome 2 de Un faux graphiste

Humour absurde, cruel, gras ou subtil… tout est au rendez-vous

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Le distributeur automatique d'auréoles, la poire à lavement géante, Bozo l'exécuteur rigolo, MC Goebbels et ses lubies jamaïcaines, le réfugié syrien et ses 600 mètres carrés avec Jacuzzi, l'inventeur de l'autobronzant, Kroha l'homme des cavernes culturiste, le supplice des blagues stigmatisantes, l'armée des hommes-choux, Pinpin le lapin SDF sortant de prison, et bien d'autres... Il y en aura pour tout le monde !!

Paul Lamploix et les quatre Huberts, tome 1 : chômeurs du futur

Oui, c’est drôle, mais un peu déçu après le génialissime effondrement.

Paul Lamploix et les quatre Huberts, tome 1 : chômeurs du futur de Emile Bertier et Yann Girard

Quatre Huberts à la recherche d’un emploi dans la galaxie.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Les aventures de Paul Lamploix et de ses quatre Huberts, chômeurs du futur qui sillonnent la galaxie pour trouver un emploi. Une bande dessinée qui détourne de vieux comics américains libres de droits pour offrir une satire sociale sur le monde du travail

Petit guide pratique, ludique et illustré de l’effondrement : vivez la fin du monde dans la joie et la bonne humeur !

C’est hilarant… Pour autant, il faut goûter au second degré, à l’auto dérision, à l’introspection et à la rigolade…

Petit guide pratique, ludique et illustré de l’effondrement : vivez la fin du monde dans la joie et la bonne humeur ! de Emile Bertier et Yann Girard

Pierre Desproges avait proposé : « Vivons heureux en attendant la mort »… Et bien maintenant que le collapse est là, rions !

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Une compilation d'histoires courtes, de strips, de blagues et de conseils sur le thème de la fin de la civilisation humaine

Ils vécurent heureux, eurent beaucoup d’enfants et puis…

Les contes de notre enfance, si jolis, si candides et si moraux revisités par une sorte de psychiatre sadique, cynique et pervers dans un monde où la modernité s’amuse du fantastique, où la drogue s’invite dans les palais et où la déprime surprend les princes déchus ou maudits.

Ils vécurent heureux, eurent beaucoup d'enfants et puis... de Michael Cunningham
Ils vécurent heureux, eurent beaucoup d’enfants et puis… de Michael Cunningham

Un livre dans les trois petits points du titre, juste après le bonheur et les enfants, là où l’ennui et le blues commencent à œuvrer dans leur travail de sape et de destruction lente.

Et si la princesse était ma voisine de pallier, celle du troisième avec des bigoudis.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Au carrefour de la fable et de la nouvelle contemporaine, dix petits contes cruels, accompagnés de superbes illustrations de l'artiste Yuko Shimizu, revisités avec un soupçon de cynisme et une bonne dose d'humour noir par la prose douce-amère et l'acuité psychologique de Michael Cunningham.

On connaît la chanson : la Belle succombe au charme de la Bête, Hansel et Gretel échappent à la sorcière, le crapaud se change en prince sous le baiser de la princesse, et tous vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.

Et puis... les années passent.

La Belle regrette-t-elle d'avoir épousé la Bête ? Que devient la sorcière, vieille et seule dans sa maison de pain d'épices ? Et la princesse ? Quelle est cette mélancolie qui la tenaille ? Ce manque qu'elle ne parvient pas à formuler ? Cette nostalgie d'un moment perdu qu'elle se rejoue encore et encore ; ce moment où, juste avant que ses lèvres ne se posent sur celles du crapaud, juste avant que la monstrueuse créature ne se transforme en prince charmant, tout était encore possible...