Mon Père

Un livre sur la soif de vengeance. Celle d’un père qui n’a pas réussi à protéger son fils d’un Père catholique.

Mon Père de Grégoire Delacourt
Mon Père de Grégoire Delacourt

Un huis-clos terrible au dénouement qui m’a un peu « décontenancé ». Un mélange d’émotions trop fortes, de pardon, de haine et de colères pour trouver une impossible paix

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Ce monde ne sera guéri que lorsque les victimes seront nos Rois. »

Je me suis toujours demandé ce que je ferais si quelqu'un attentait à l'un de mes enfants. Quel père alors je serais. Quelle force, quelle faiblesse. Et tandis que je cherchais la réponse, une autre question a surgi : sommes-nous capables de protéger nos fils ?
G.D.

Après La Liste de mes envies et On ne voyait que le bonheur, Grégoire Delacourt nous interroge avec force sur notre propre humanité

Héloïse ouille!

Mouhahaha 🙂
Ouille, ouille, ouille! Héloïse, ouille! En forme le Jean Teulé, en grande forme!

Héloïse, Ouille! de Jean Teulé
Héloïse, Ouille! de Jean Teulé
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
À la fin de sa vie, Abélard écrivait à Héloïse :

«Tu sais à quelles abjections ma luxure d'alors a conduit nos corps au point qu'aucun respect de la décence ou de Dieu ne me retirait de ce bourbier et que quand, même si ce n'était pas très souvent, tu hésitais, tu tentais de me dissuader, je profitais de ta faiblesse et te contraignais à consentir par des coups. Car je t'étais lié par une appétence si ardente que je faisais passer bien avant Dieu les misérables voluptés si obscènes que j'aurais honte aujourd'hui de nommer.»

Depuis quand ne peut-on pas nommer les choses ?

Jean Teulé s'y emploie avec gourmandise

Pas pleurer

Magnifiques allez-retours entre sa mère et la guerre civile espagnole. Dur et tendre.

Pas pleurer de Lydie Salvayre
Pas pleurer de Lydie Salvayre
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Deux voix s'entrelacent. En premier celle de Georges Bernanos, témoin direct de la guerre civile espagnole, qui dénonce la terreur exercée par les nationalistes et l'Eglise catholique. En second celle de Montse, mère de la narratrice, qui conserve pour seul souvenir la joie des jours radieux de l'insurrection libertaire