Un garçon qui court

Un petit livre sombre et lumineux. Une longue lettre portée par une voix sobre et sans pathos inutile.

Un garçon qui court de Mélanie Richoz

Mais aussi un livre qui parle de la relation difficile d’un fils avec une mère abusive et inadéquate… et tout au long de cette lettre, on découvre un autre personnage, un gourou, médium un peu devin, trouble et omniprésent.

Une lecture qui retourne

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Le raconter à qui,
et comment,
et pourquoi ?
Qui peut entendre ? »

Frédéric adresse une dernière lettre à son ami Roger S., incarcéré depuis plusieurs mois

California Girls

Nan. Un livre sans distance ni empathie. Hésitant. On écrit pas un roman sans point de vue, à la limite un rapport administratif.

California girls de Simon Liberati
California girls de Simon Liberati

Gore et maladroit.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
"En 1969 j'avais neuf ans. La Famille Manson est entrée avec fracas dans mon imaginaire. J'ai grandi avec l'image de trois filles de vingt ans défiant les tribunaux américains, une croix sanglante gravée sur le front. Le contraste entre leur jeunesse et ce qu'on leur reprochait fut ma première confrontation au mal. Des droguées... voilà ce qu'on disait d'elles, des droguées qui avaient commis des crimes monstrueux sous l'emprise d'un gourou qu'elles prenaient pour Jésus-Christ.

Ce fait divers a marqué un tournant historique : la fin de l'utopie des années 60.

California Girls couvre trente-six heures de la vie de la Famille Manson au moment où elle passe à l'acte. Mon but a été que tout paraisse aller de soi comme dans un roman alors que le moindre geste s'est vraiment accompli il y a bientôt cinquante ans. J'ai écrit cette histoire le plus simplement possible pour exorciser mes terreurs enfantines et j'ai revécu seconde par seconde le martyre de Sharon Tate."