Machin

Un livre de souvenirs qui commence comme un délicieux cadeau à Casablanca dans le garage de Cloclo, fils de Alfred Machin, réalisateur de films muets français.

Machin de Maryline Desbiolles

Et tout d’un coup, départ pour le Mans et la rencontre de Suzanne…comme s’il n’y avait pas eu assez de matière avec les Machin.

Très curieux, cette bascule, fallait-il vraiment, zut.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Au début de ce mois de juillet, ma poitrine s'est dilatée, j'ai éprouvé de la joie en arrivant à Nice dont le nom si bref, si léger a troué tant de fois mon enfance. »

De son enfance à Casablanca, André a retenu les heures passées dans le garage de monsieur Cloclo, surnom de Claude Machin. Ce dernier a raconté au petit garçon émerveillé, des après-midi durant, à l'avant de voitures immobiles, l'histoire extraordinaire de son père, Alfred. Alfred Machin, pionnier, réalisateur prolifique, passionné par les animaux qu'il dressa pour le cinéma. Celui-là même qui embarqua toute sa famille dans sa grande aventure cinématographique, dont l'apogée fut l'installation dans les studios Bon Voyage à Nice, ville magnétique où tout commence et tout finit.

À travers la trajectoire discrète d'André, de Casablanca à Nice, de 1950 à aujourd'hui, Maryline Desbiolles ranime l'incroyable figure d'Alfred Machin et entrelace ces deux destins de son écriture lumineuse

Farniente : le niçois

M’houis…

On suit Jacques Merenda dans le Nice des attentats. Une façon d’exprimer l’incompréhension et le désarroi ressenti suite aux attentats.

Farniente : le niçois de Joann Sfarr
Farniente : le niçois de Joann Sfarr

Un peu confus, souvent truculent, parfois drôle

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
En cet après-midi de 14-Juillet, Jacques Merenda dit « Le Niçois » n'aspire qu'à un moment de complicité avec son fils Christian Lestrival qui lui a succédé à la tête de l'hôtel de ville. Le feu d'artifice est pour lui l'occasion idéale. Mais la douce soirée d'été bascule en tragédie effroyable quand la promenade des Anglais est frappée par une attaque terroriste des plus sanglantes. Incapable de faire face aux scènes d'horreur auxquelles il vient d'assister, Le Niçois, impuissant et submergé par la violence de ses émotions, ne voit qu'une échappatoire : quitter sa ville sous peine de commettre l'irréparable...

Un western crépusculaire

Le Niçois

L’idée truculente d’un retour de Jacques Médecin. Un délire politico-religieux entre Sucette boulevard et les Tontons flingueurs.

Le Niçois de Joann Sfar
Le Niçois de Joann Sfar

Avec des cigares sous la moustache.

Le Niçois de Joann Sfar
Le Niçois de Joann Sfar
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
«Je vous parle d'une époque où les hommes à moustache avaient encore leurs chances avec les jolies blondes...

Excusez-moi de n'avoir pas écrit une vraie enquête sur Jacques Médecin. Mais je ne suis pas un garçon sérieux. Ma vérité se trouve chez Dino Risi, Frédéric Dard et Sergio Leone. Finalement, je ne suis pas compétent en ce qui concerne Jacques Médecin. Mon expertise s'arrête juste à cet univers dont je rêve depuis longtemps, sur lequel règne Jacques Merenda.»