Faut pas prendre les cons pour des gens, tome 4

Après un tome trois qui m’avait vraiment laissé sur ma faim (mais peut-être étais-je mal luné ce jour-là), voilà un brillant quatrième opus.

Faut pas prendre les cons pour des gens, tome 4 de Emmanuel Reuzé, Jorge Bernstein et Vincent Haudiquet

On y retrouve tout ce qui a fait le génie (si, si) des premiers albums, une vision de notre société tout aussi absurde qu’elle peut l’être.

Nous sommes fous ! Merci de nous l’avoir démontré !

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Je voudrais une baguette, s'il vous plait.
Ça fera 10 euros, Madame.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Vu le prix de l'électricité, les pauvres ont-ils encore les moyens de s'électrocuter ? Comment s'opérer tout seul de l'appendicite grâce à Internet ? Peut-on trouver un travail fictif à mi-temps ? Où trouver le temps de faire un burn-out quand on est débordé ?

Emmanuel Reuzé revient avec un tome 4 encore plus grinçant qui maltraite la bêtise ordinaire de notre société.

Une série qui soigne l'indignation par le rire !

Faut pas prendre les cons pour des gens, tome 1 et 2

Immigration, capitalisme, Pôle emploi, pauvreté, tourisme sexuel, système de santé, SDF et terrorisme… Voilà de la BD politique à l’humour brillamment absurde !

Faut pas prendre les cons pour des gens, tome 2 de Emmanuel Reuzé et Nicolas Rouhaud

Et BIM !

Et un tome 2 encore meilleur que le premier !

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Tome 1
Peut-on remplacer les enseignants par des distributeurs de diplômes ? Faut-il expulser du territoire son bébé ne parlant pas français quand on est patriote et républicain ? Doit-on incarcérer de futurs criminels pour éviter qu'ils ne commettent de futurs crimes sur de futures victimes ?
Retrouvez toutes les réponses à ces questions dans Faut pas prendre les cons pour des gens, un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire.
Dans ce livre, Reuzé et son fidèle compagnon Rouhaud, n'épargnent rien ni personne pour notre plus grand plaisir. Le dessin de Reuzé singe la BD contemporaine qui n'hésite pas à reprendre le même dessin sur plusieurs cases. Comme vous l'aurez compris, ce bougre ne prend vraiment rien au sérieux, pas même son éditeur !
Emmanuel Reuzé tord et maltraite les clichés de la société et livre une BD hilarante et grinçante à souhait

Tome 2
Faut-il une dérogation pour insulter un patron raciste ?
Peut-on passer des vacances sur le continent de plastique ?
Peut-on se faire rembourser un enfant défectueux ?
Retrouvez toutes les réponses à ces questions dans Faut pas prendre les cons pour des gens, un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire

J’ai d’abord tué le chien

Presque un polar et pas tout à fait quand même. OK, il y a des morts, mais ils ne semblent presque pas les plus importants… Il y en a déjà eu tant…

J’ai d’abord tué le chien de Philippe Laidebeur

Un polar atypique bien construit, un très bon premier roman… malgré une fin un peu brouillonne.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Peut-on entrer dans la peau d'un inconnu sans prendre le risque de voir un passé sulfureux rattraper insidieusement un présent très ordinaire ?

Le héros de cette histoire est "SDF", "clochard", "clodo", comme on dit. Ancien informaticien, il connaît une rapide descente aux enfers après que sa femme, Carina, le quitte pour un autre. Dix ans déjà qu'il vit dans les rues de Paris, avec ce qui lui reste du RSA, une fois la pension alimentaire payée, et en faisant la manche. Vagabond solitaire, il va d'abris de fortune en taudis insalubres, évitant les pièges que lui tend la jungle urbaine.
Mais un jour, pour une banale histoire de planches volées, il égorge un autre SDF et son chien. C'est le premier meurtre d'une longue série.
Tuer pour ne pas être tué, tel devient son credo. Son mode de survie.
Il décide de s'installer en bord de Seine, un coin tranquille, en contrebas d'une villa cossue. Il fait la connaissance du propriétaire, un homme bourru à la discrétion maladive, qui lui refile ses vieux vêtements et un peu de travail de temps en temps.
À la suite d'une altercation avec deux autres SDF venus lui piquer sa planque, le narrateur les tue. Le propriétaire, qui ne veut pas d'histoires, surtout avec la police, s'en aperçoit. Le narrateur panique et l'égorge à son tour.
Il se rend alors compte que cet homme lui ressemble étrangement, à tel point que le SDF décide de prendre sa place : sa maison, ses habitudes, sa vie... Mais qui est vraiment ce nouveau lui ? Comment prendre l'identité d'un inconnu sans risquer de voir le passé rattraper le présent ? Sans que la raison s'éloigne chaque jour un peu plus de soi-même ? Sans sombrer dans la folie ?

Je est-il vraiment un autre ?

Vernon Subutex 2

Vernon Subutex, le messie post-rock s’égare dans le tome 2. Pourtant, l’écriture de Virginie Despentes est cristalline. J’en reste coi.

Vernon Subutex 2 de Virginie Despentes
Vernon Subutex 2 de Virginie Despentes

Une critique ici

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Qui est Vernon Subutex ?

Une légende urbaine.
Un ange déchu.
Un disparu qui ne cesse de ressurgir.
Le détenteur d’un secret.
Le dernier témoin d’un monde disparu.
L’ultime visage de notre comédie inhumaine.
Notre fantôme à tous

Vernon Subutex 1

Scotché par Vernon Subutex 1 de Virginie Despentes. Je pense que je ne vais pas beaucoup sortir ce weekend. Finalement cette neige ne me dérangera pas trop!

Vernon Subutex 1 de Virginie Despentes
Vernon Subutex 1 de Virginie Despentes
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Qui est Vernon Subutex ?

Une légende urbaine.
Un ange déchu.
Un disparu qui ne cesse de ressurgir.
Le détenteur d'un secret.
Le dernier témoin d'un monde révolu.
L'ultime visage de notre comédie inhumaine.
Notre fantôme à tous