Vingt-cinq ans de solitude : mémoires du Grand Nord

Dur, froid, impitoyable… La vie d’un trappeur dans le Grand Nord de l’Amérique. Un peu dégeu’ aussi, pas vraiment pour la délicate heure du thé chez l’ambassadeur.

Vingt-cinq ans de solitude de John Haines
Vingt-cinq ans de solitude de John Haines

Le style est à l’avenant, alors à tout prendre, mieux vaut commencer par Jack London.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
En 1947, John Haines s'installe dans une cabane isolée en Alaska. Il y passera vingt-cinq ans, menant une existence rude et solitaire faite de chasse et de pêche, de pièges et de traques, de pistes tracées au sein d'étendues vierges. La furie des éléments et le sang versé seront ses principaux compagnons. Dans un univers où, face au blizzard, un feu qui s'éteint signifie la mort, où le chasseur devient parfois la proie, chaque rencontre sera essentielle.

Ce récit, servi par une langue précise et forte et un sens aigu de l'observation, nous fait découvrir un des derniers grands espaces sauvages de la planète. Un pays où "la neige, le feu, les étoiles" sont les seuls livres que lisent ceux qui vivent au rythme des saisons. Avec sérénité, John Haines transforme son expérience intime en un récit initiatique et intemporel, où le moindre évènement trouve sa résonance en chacun de nous.

Vingt-cinq ans de solitude est l'histoire incroyable d'un trappeur moderne, un hymne à la vie sauvage et un classique de la littérature du Grand Nord