Le noir qui infiltra le Ku Klux Klan

Cinq étoiles, évidement, pour Ron Stallworth et ses collègues qui ont infiltré le K.K.K. à la fin des années 70. Le ridicule des bouffons en robes et capuches pointues est délicieux. Des bras cassés qui rêvent de brûler des croix dans des délires suprématistes. Dangereux pourtant!

Le noir qui infiltra le Ku Klux Klan de Ron Stallworth
Le noir qui infiltra le Ku Klux Klan de Ron Stallworth

Bon, le bouquin… bof. Mais pour l’audace et le courage : chapeau !

Un passé pas si lointain au éternelles réminiscences bien présentes.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Tout a commencé un jour d'octobre 1978. Inspecteur à la brigade de renseignement de la police de Colorado Springs, j'avais notamment pour mission de parcourir les deux quotidiens de la ville à la recherche d'indices sur des activités subversives.
Les petites annonces ne manquaient jamais de m'étonner. Parfois, entre stupéfiants et prostitution, on tombait sur un message qui sortait de l'ordinaire. Ce fut le cas ce jour-là

Yellow Bird

Manu militari envolez-vous avec le Yellow Bird de Kevin Powers. Je retombe difficilement.

Yellow Bird de Kevin Powers
Yellow Bird de Kevin Powers
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Bartle, 21 ans, est soldat en Irak, à Al Tafar. Depuis l'entraînement, lui et Murph, 18 ans, sont inséparables. Bartle a fait la promesse de le ramener vivant au pays. Une promesse qu'il ne pourra pas tenir... Murphy mourra sous ses yeux et hantera ses rêves de soldat et, plus tard, de vétéran.

Yellow birds nous plonge au coeur des batailles où se déroule la vie du régiment conduit par le sergent Sterling. On découvre alors les dangers auxquels les soldats sont exposés quotidiennement. Et le retour impossible à la vie civile.

Kevin Powers livre un roman fascinant sur l'absurdité de la guerre, avec une force aussi réaliste que poétique

La légende des fils

Bof, des extraits sympas, mais il ne reste pas grand chose après. Des douleurs et le pardon. Et après?

La légende des fils de Laurent Seksik
La légende des fils de Laurent Seksik
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Phoenix, Arizona, automne 1962. Scott vit des instants de grâce auprès d'une mère aimante et tente d'échapper à l'ivresse sauvage d'un père revenu brisé de la guerre. Scott est un doux rêveur, en quête d'absolu et de grands espaces. Chaque jour s'ouvre sur les retrouvailles avec sa mère, infirmière de nuit au Mémorial Hospital, et s'achève sous la menace du tyran à la patte folle. Un matin d'octobre, mère et fils prennent la fuite en direction de Flagstaff. Le destin les attend sur la route 17