Je suis une légende

Un énorme classique fantastico-dystopique d’horreur apocalyptique qui m’était passé à côté et dont je n’avais vu que la fort bonne adaptation cinématographique.

Je suis une légende de Richard Matheson

Pour autant, si le film m’avait beaucoup plu, il s’est révélé absolument infidèle tout en rendant plutôt bien le sens de l’œuvre première… Et ce, même s’il n’en est qu’une mièvre disneyfication.

Oublions donc Will Smith pour plonger dans une bien bonne histoire de vampires et de contamination mondiale plutôt trash et anxiogène

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Chaque jour, il doit organiser son existence solitaire dans une cité à l'abandon, vidée de ses habitants par une étrange épidémie. Un virus incurable qui contraint les hommes à se nourrir de sang et les oblige à fuir les rayons du soleil...

Chaque nuit, les vampires le traquent jusqu'aux portes de sa demeure, frêle refuge contre une horde aux visages familiers de ses anciens voisins ou de sa propre femme.

Chaque nuit est un cauchemar pour le dernier homme, l'ultime survivant d'une espèce désormais légendaire

Un vampire

Deux petites nouvelles du tout début du 20e, la première avec une histoire de mari revenant hanter son épouse après sa mort pour lui ravir leur enfant…

Un vampire de Luigi Capuana

La seconde avec une histoire de meurtres et de somnambulisme…
Et comment l’esprit scientifique explique-t-il cela ?

Bof, bof…

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Considéré comme l'un des plus grands représentants du vérisme, Luigi Capuana (1839-1915) est l'auteur d'une oeuvre débordante, facétieuse, jubilatoire et iconoclaste constituée, entre autres, de contes et de nouvelles, dont il n'a de cesse de détourner les codes. Chez ce Lewis Carroll italien, reconnu et célébré par des auteurs comme Luigi Pirandello ou Italo Calvino, c'est la veine mi-fantastique mi-humoristique qui ressort. Si au prime abord, ces textes font songer à l'univers gothique et inquiétant d'un Edgar Allan Poe, l'élément comique n'est jamais loin. Capuana y moque avec une truculente ironie les certitudes scientifiques et les croyances paranormales, sans jamais révéler où se situe la vérité. Capable de maintenir le lecteur en haleine pendant tout le récit, il le surprend toujours par la pirouette déconcertante du dénouement

Twilight Fascination

Finalement, Twilight, ça pourrait presque fascinant si des dialogues pareils étaient plus fréquents.
Hélas… Sans hésitation, aucune tentation pour la révélation.

Twilight, tome 1 : Fascination de Stephenie Meyer
Twilight, tome 1 : Fascination de Stephenie Meyer
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville de l'Etat de Washington pour vivre avec son père. Au lycée, Bella est attirée par une étrange fratrie de deux filles et trois garçons. Elle finit par tomber amoureuse de l'un d'eux Edward Cullen. Naît alors entre les deux adolescents une relation sensuelle et dangereuse.