Tout ce dont on rêvait

Justine, ses colères, ses frustrations, ses désillusions et ses compromis. Ses colères inexprimées qui se retournent contre elle. Mais aussi Justine qui tente de traverser la vie et qui est heureuse parfois. Justine qui s’est mariée, qui a eu deux enfants. Et son salaud de père, et son mari au chômage – le chômage qui tabasse, son beau-frère si sexy. Et Justine qui s’emmêle, se perd et s’empêtre dans ses non-dits et non-avouées.

Tout ce dont on rêvait de François Roux
Tout ce dont on rêvait de François Roux

Elle s’accroche et parfois perd pied, mais se raccroche…

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Dans les années 1990, Justine, vingt-cinq ans, rêve d'une grande histoire. Elle tombe éperdument amoureuse d'Alex, mais vingt ans plus tard c'est avec son frère, Nicolas, qu'on la retrouve mariée et mère de deux enfants. Elle vit un bonheur tranquille et sans histoire jusqu'au jour où Nicolas est licencié et plonge irrémédiablement.

Après Le Bonheur national brut, fresque des années Mitterrand, François Roux poursuit la chronique de notre époque, minée par le chômage et les compromis idéologiques, avec une lucidité et une sensibilité de grand romancier. Du mariage pour tous aux récents attentats, le portrait sans concession de notre société à travers l'histoire, la chute et la rédemption d'un trio amoureux