Zeina, basha posh

Il y a des chouettes pages, un bon début pour cette histoire d’une basha posh – ces filles déguisées en garçons par leurs familles, en Afghanistan, là ou les femmes ne peuvent sortir seules – et qui réussi à fuir son pays.
Et puis ça devient convenu, mièvre, bancal. Les hommes font souffrir les femmes et, en même temps, ce sont eux qui les sauvent…

Et ça…

Zeina, basha posh de Cécilia Dutter
Zeina, basha posh de Cécilia Dutter

Et finalement, la numérologie, purée, ça vient foutre quoi là dedans?!

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Née à Kaboul, Zeina n'a que trois ans à la mort de son père. Selon une coutume ancestrale, elle sera une bacha posh, une fille déguisée en garçon, seul moyen de survivre à la honte d'une famille de femmes dans un pays où elles ne peuvent se déplacer qu'accompagnées d'un homme.

À la puberté, elle refuse de recouvrer son identité d'origine et s'enfuit. Réfugiée au sein d'une association militant pour le droit des Afghanes, elle va suivre cette ONG à Paris afin de sensibiliser les médias à cette cause. Elle survit misérablement dans la capitale jusqu'à ce que sa route croise celle d'Olivier. Fasciné par sa beauté qu'il devine sous son allure masculine, ce photographe parvient à l'imposer dans le milieu de la mode et en fait sa maîtresse. Égérie des plus grands couturiers, Zeina sillonne le monde tout en multipliant les conquêtes amoureuses. Cependant, en quittant son Afghanistan natal pour rejoindre le monde occidental, la femme moderne et affranchie dont elle est désormais le symbole a-t-elle gagné sa liberté ?

Un roman bouleversant qui interroge de façon vertigineuse la quête identitaire et l'émancipation féminine contemporaine