Curieux ce bouquin ! Au début, difficile de savoir où il va…
Et à la fin, difficile de savoir où on est allé dans ce livre sans unité de temps, de lieu ni même d’action… à peine un prétexte de station service
Pourtant, c’est réussi, comme une galerie de portraits tous plus étranges, flippants, intrigants et décalés. Adeline se dispense même d’une pseudo justification de fin avec une grande scène finale… Et à posteriori, cela ne manque même pas
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Une station-service le long de l’autoroute, une nuit d’été. Sous la lumière crue des néons, dans les odeurs d’essence et d’asphalte, quelques tables en plastique jaune délavé.
23h12. Ils sont quinze à se croiser, si on compte le cheval et le cadavre planqué à l’arrière d’un gros Hummer noir. Une minute encore, et tout bascule…
Adeline Dieudonné se joue des codes avec une irrésistible audace. Kérozène est drôle comme une comédie, tendu comme un thriller, mordant comme le réel
Une station-service le long de l’autoroute, une nuit d’été. Sous la lumière crue des néons, dans les odeurs d’essence et d’asphalte, quelques tables en plastique jaune délavé.
23h12. Ils sont quinze à se croiser, si on compte le cheval et le cadavre planqué à l’arrière d’un gros Hummer noir. Une minute encore, et tout bascule…
Adeline Dieudonné se joue des codes avec une irrésistible audace. Kérozène est drôle comme une comédie, tendu comme un thriller, mordant comme le réel