Mon assassin

Essai, roman, autobio, autofiction ou inclassable ? Cet assassin est bien insaisissable !

Mon seul espoir devant le bilan désastreux que m'inspire mon époque est d'être devenu un vieux con qui dresse des bilans désastreux, un de ces alambics à désillusions où peuvent germer des personnages aussi noirs que Pépère. Après tout, il faut bien qu'il vienne de quelque part, cet assassin.
Mon assassin de Daniel Pennac
S’il n’est pas indispensable d’avoir dévoré tous les épisodes de la famille Malaussène, leur connaissance – voir même de vieux souvenirs – en facilitera bien la compréhension.Acheter l'affection de mon bourreau... Cette infamie fut le berceau de ma honte. Il me semble avoir passé ma vie à l'expier. Sur le cahier où, quelques années plus tard, je notais mes aphorismes d'adolescent, j'ai retrouvé celui-ci : « Tous les malheurs de l'homme viennent de ce qu'il peut désirer l'affection d'Adolf Hitler. »Un livre comme une déclaration d’intimité (voir d’amour) à ses personnages, directement inspirés par ses relations, et plus encore, par ses amitiés.

Un livre qui brille principalement par sa construction désarçonnante autant que délicate

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
C'est un enfant assis dans un train, une pancarte autour du cou : Enfant Lassalve, dit la pancarte. Elle indique aussi ses gares de départ et d'arrivée : Châlons-sur-Marne, Paris gare de l'Est. La pancarte précise qu'il sera « réceptionné » par ses parents, Hubert et Geneviève Lassalve. À l'époque, il était fréquent de trouver dans les trains un enfant ainsi étiqueté. Des pensionnaires souvent, qui rejoignaient leur famille en fin de semaine ou retournaient à l'internat le lundi matin. Le petit voyageur était confié au personnel de la SNCF, cette pancarte autour du cou. Parfois c'était une ardoise.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
La plupart de mes amis deviennent personnages dans mes romans. Mais cet assassin que j'ai imaginé sans le connaître, mon épouvantable assassin, d'où vient-il, lui ?

D.P.

Fort Alamo

Fabcaro explore l’humour des petites choses, de l’intime, des petits dérèglements de nos vies. Ces petites choses qui ne sont pas à leur place et qui brisent quelque chose en nous. Nous désarçonnent.

En rentrant, Léonie m'a demandé comment les obsèques s'étaient passées. Je lui ai raconté le moment émouvant où la nièce était venue lire un texte à propos de leurs séjours rituels dans le Cantal. Ce faisant, je me suis demandé ce que mes neveux pourraient bien venir raconter d'émouvant, au pupitre, le jour de mes obsèques. Un jour il nous a acheté des CD, on savait pas trop quoi en faire, c'était gênant.
Fort Alamo de Fabrice Caro
C’est drôle et touchant.

Avec une fin un peu… désarçonnante, elle aussi. Zut

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Je m'étais absenté une minute à peine, le temps de retourner chercher les sacs-poubelle que j'avais oubliés. Quand je suis revenu à la caisse, un type avait fait passer son caddie devant le mien et avait commencé à déposer ses produits sur le tapis roulant. Je me suis retrouvé derrière lui, hagard et désemparé. Il m'a lancé un regard furtif, a replongé le nez dans ses courses, puis m'a regardé à nouveau.
- Oh, le caddie était à vous?


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Alors qu'autour de moi tombaient les corps, fort Alamo était en passe d'être pris. »

Devant la caisse du supermarché, Cyril maudit en silence le type qui l'a doublé l'air de rien. Quelques minutes plus tard, le resquilleur s'effondre sur le carrelage, foudroyé. Pour Cyril, père de famille sans histoires, c'est le début d'une série de faits similaires qui le plongent dans une angoisse existentielle. Ou est-ce plutôt la disparition récente de sa mère, la nécessité de vider la maison de son enfance ? À moins que ce ne soit Noël qui approche, les cadeaux à trouver, le repas chez la belle-soeur...

Mêlant l'humour et la mélancolie, l'acidité et la tendresse, Fabrice Caro excelle dans l'art du gag métaphysique.

Albert Cohen et Genève : guide littéraire

Ce petit guide Cohen-Genève est un petit trésor d’anecdotes et d’humour.

« Jamais plus je ne la verrai
descendre du train, épanouie, confuse. Jamais plus ses valises démantibulées, pleines de cadeaux qui la ruinaient.
C'était sa grande aventure, ces expéditions vers son fils, longuement préparées et économisées. Son souci de faire bonne impression à la gare et ses vertueuses élégances, le premier soir de l'arrivée. »
Albert Cohen et Genève : guide littéraire de Pierre-Louis Chantre, Marie-Luce Desgrandchamps, Idit Ezrati Lintz, Thierry Maurice, Bruno Racalbuto, Noémie Sakkal Miville et Yan Schubert
Au travers de la brève biographie d’introduction, les liens entre l’auteur et la ville du bout du lac apparaissent rapidement pour tisser leur forte relation.
Albert et Bella Cohen quittent la rue du Léman pour emménager dans le quartier de Champel en 1962. Cet immeuble moderniste caractéristique du courant architectural de l'époque vient d'être achevé. Le quartier est alors en pleine mutation et accueillera la synagogue Hekhal Haness, qui y sera édifiée entre 1970 et 1972. Les époux vivent au septième et dernier étage du bâtiment, depuis lors surélevé de deux niveaux.
C'est à l'intérieur de ce logement surchauffé, derrière de larges baies vitrées, souvent obscurcies par de lourds rideaux de velours brun, qu'Albert Cohen passe désormais la majeure partie de son temps. Il y finalise Belle du Seigneur, qu'il dicte à Bella.L’occasion de parcourir Genève et de goûter à toute la finesse de l’humour d’Albert Cohen au travers de ses petites piques sur la ville et ses habitants qui parsèment ses écrits

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
« Albert Cohen, le plus grand écrivain genevois depuis Jean-Jacques Rousseau » titre la manchette de la Tribune de Genève au lendemain de la mort de l'auteur.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Albert Cohen (Corfou, 1895 - Genève, 1981) a vécu près de cinquante ans à Genève, où il a écrit la majeure partie de son oeuvre.

Ce guide littéraire interroge les rapports contrastés de l'écrivain à la Cité de Calvin. Il propose six promenades explorant vingt-neuf lieux emblématiques, des organisations internationales à Cologny, en passant par la Vieille-Ville, le Jardin Anglais et le parc des Bastions. Une riche introduction, des notices illustrées, des citations, des cartes et des documents inédits restituent la géographie personnelle de l'auteur de Belle du Seigneur.

Prodigieux satiriste, incurable inquiet, autofabulateur, Cohen fut dans sa ville d'adoption étudiant en droit, militant sioniste, fonctionnaire international, et écrivain consacré.

Facéties de chats

Magnifique !

Facéties de chats de Sébastien Perez, dessins de Benjamin Lacombe

Des portraits de chats tout en poésie !
« Non de non ! » se disait Raymond
« Il y a un an, je rentrais dedans. »
Ce panier en osier osait lui résister.
Les pattes arrière la queue le derrière
Passaient encore le reste demandait un effort.
Raymond, déployant sa silhouette de chaton,
Soupira, se leva, s'étira et réessaya
La tete en avant, les épaules en dedans
Rentrant le bidon d'une inspiration...
Quelle galère! La queue restait en l'air !
Sans se décourager, il changea de côté
A l'envers en quinconce puis de travers
Rien n'y faisait, littéralement, il débordait
Suspectant un sale coup de ses parents
Raymond cracha tandis que le panier céda
C’est beau, mignon, amusé et amusant !

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Le chat... Quel animal mystérieux que celui-là !


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Le chat... Quel animal mystérieux que celui-là !

Vous êtes-vous déjà demandé quelles pensées secrètes fleurissent derrière leurs yeux envoûtants ? Quelles idées farfelues leur passent par la tête ?

Ou bien s'ils vivent des aventures extraordinaires lorsque vous avez le dos tourné ?

Eux seuls le savent mais voici imaginées ici pour vous quinze facétieuses histoires de chats.

Vuzz : l’intégrale

Vuzz est une sale bête, une charogne sans morale, un guerrier sans armée. Ses plaisirs : tuer, violer, manger…

Vuzz : l’intégrale de Philippe Druillet

C’est une horreur absolue et c’en devient drôle… pour qui supporte

Un petit trésor minimaliste, en bleu et blanc aux traits si reconnaissables et à l’histoire bien méchante

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Vuzz !!
Manger...
Manger??


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Une œuvre à part dans l’univers de Druillet

Vuzz est un guerrier. Un pillard qui a des besoins simples dans la vie : se battre, manger et faire l’amour. Vuzz vit dans un monde où les villes en ruines abritent zombies, lapins géants et autres sorciers pédophiles. Un monde où tout n’est que désolation et incertitudes. Un monde où Vuzz ne peut finalement compter que sur lui-même. Et ça lui va très bien comme ça...

Vuzz est un personnage à part dans l’œuvre de Philippe Druillet. Dans ses aventures, l’auteur, comme son héros, se laisse aller à son propre plaisir. Exit les grandes envolées graphiques, les fresques bariolées sur deux pages, la démesure des architectures et la noirceur assumée du propos. Ici, le récit est volontairement décalé, presque humoristique ; la narration dépouillée et la mise en scène minimaliste. Cette intégrale inédite, petit format et en noir et blanc, rassemble les aventures complète de ce anti-héros et nous fait redécouvrir l’étendue de l’imaginaire créatif d’un auteur hors-norme.

Minuscule folle sauvage

Vous ne connaissez rien aux troubles de la personnalité borderline, la dépression, les phobies…? Ou alors, vous en savez un peu quelque chose… Qu’importe. Ce livre est parfait.

Avec plein de douceur et de poésie graphique minimaliste, Pauline de Tarragon nous invite dans sa vie, son enfance, sa jeunesse et son adolescence. Ses difficultés et ses accomplissements.

Minuscule folle sauvage de Pauline de Tarragon

C’est beau, intime et très touchant

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
J'ai observé le trou de ma tête.
J'y ai jeté quelques cailloux pour évaluer la profondeur.
Ça n'a pas fait de bruit, je n'ai pas compris.
Alors j'ai sauté.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Qu`est-ce que je vaux si je suis seule ? Ai-je le droit de disparaître dans la forêt ? A quel moment puis-je décréter que je suis folle ? Dans son premier roman graphique, Pauline de Tarragon nous ouvre les portes de son laboratoire privé, celui dans lequel elle concocte des potions pour comprendre, réparer et survivre. C`est avec humour et poésie que l`autrice nous livre un monologue intime qui touchera en plein cœur les introverti.es, les inadapté.es, les phobiques aussi bien du vide que du trop-plein, et les tristes de naissance. Ce petit bijou minimaliste, plein d`humour et de sensibilité, vous fera passer du rire aux larmes.

Le nombre de fois où je suis morte

Combien de fois meurt-on dans une vie ? De faim, de honte, d’ennui, de désir, d’impatience, de jalousie, de culpabilité, de chaud, d’angoisse, de chagrin, de froid, de peur ou de rire ?
Marie-Christine Horn ne mourra en tout cas pas sans y avoir réfléchi, avec un sourire mi-tendre et mi-moqueur et avec beaucoup de talent !

Ainsi donc, je me souviens de ma première mort. La mort de l'enfance qui s'enterre sans pelle mais avec des fleurs, une plus précisément. La fameuse petite fleur qu'on offre à celui qu'on choisit, à seize ans, pour la vie et qu'on quitte quelques mois plus tard pour un autre, plus grand, plus beau, plus brun, plus « quelque chose » qu'on estimera suffisamment primordial pour rompre le serment qu'on avait scellé plus tôt.
Le nombre de fois où je suis morte de Marie-Christine Horn

Ces nouvelles, parfois graves mais souvent très drôles, portent un regard coquin et acidulé sur des instants de vie de femmes, joyeux ou tristes, drôles ou cruels…
Moi qui me lève chaque matin pour gagner ce salaire qui me sert à payer les traites de cette voiture dont j'ai besoin pour aller gagner ce salaire qui me sert à payer les traites de cette voiture.… des grandes et petites morts qui rapprochent de la dernière

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Il est des peines, comme des joies, qui vous surprennent un beau jour comme un vilain, sans qu'on les ait vraiment choisies, provoquées ou même attendues. Il est des joies, comme des peines, qui vous émeuvent plus ou moins, et dont les larmes ont autant un goût de rire que de chagrin.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Morte de faim, morte de peur, morte d’ennui…Femmes tantôt fragiles, en colère ou désespérées, les protagonistes dansent sur le fil, frôlent les précipices en quête de réponses, d’ailleurs ou de sens.
Treize nouvelles, autant de petites morts. Avec lucidité et humour noir, l’auteure signe un texte puissant dont le fil rouge est l’exploration de la psyché féminine dans toute sa complexité.

Smoothie

Voilà exactement le genre de livres dont je raffole. C’est court (pas besoin d’en faire des tonnes), c’est bien écrit et ce n’est pas prétentieux pour autant, c’est léger mais cela touche juste, c’est doux et drôle… Bref, un livre sur lequel je suis tombé au hasard et qui m’a enchanté !

Ce soir-là, j'ai presque eu envie de recommencer à fumer et j'ai bu, toute seule chez moi, en mangeant des chips. J'ai énuméré le nombre de règles que j'étais en train d'enfreindre et j'ai pouffé. Mon rire était triste. Même Arthur Schopenhauer et ma conscience, dans la bibliothèque, se sont un instant détournés de leurs ébats pour me regarder avec commisération.
Smoothie de Stéphanie Glassey
L’histoire d’une rupture et des injonctions au bonheur instagrammable.

Un bon moment de yoga – avec ce gros bouffon de Schopenhauer – plein de doutes et d’autodérision !

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Je pense que tu t'en rends compte toi aussi, nous sommes trop différents, on n'a pas la même philosophie de vie ! Le temps est trop précieux, je vais m'en aller.
Un silence a suivi cette phrase qui sonnait le glas de notre date. Il m'a fixée avec un mélange de mépris et de commisération, puis s'est saisi de l'immense smoothie vert, qui trônait, vaguement menaçant, au centre de la table. En trois vigoureuses aspirations - il ne faisait plus aucun effort pour atténuer le « sluuuurp» -, il l'a terminé.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Suite à une rupture amoureuse, une jeune étudiante doctorante en philosophie se trouve confrontée à un monde au positivisme imposé, où règne la tyrannie de la forme physique et de la santé, et où le yoga semble réduit à une pratique hygiéniste.
Démunie face à ce nouvel environnement en inadéquation totale avec sa culture du doute et son affection pour la mélancolie, notre héroïne arrivera-t-elle à trouver l'équilibre nécessaire pour réapprendre à vivre? Avec un savoureux ton humoristique, l'auteure nous emmène sur le chemin de la résilience, et nous livre une petite pépite teintée de philosophie de vie sur fond de yoga.

La révolte sans précédent

Les animaux en ont marre d’être bouffés, chassés, abandonnés, abattus…
Ils se révoltent !

La révolte sans précédent de Guillaume Meurice et les jolis dessins de Sandrine Deloffre

C’est drôle, naïf, des fois subtil et souvent pas vraiment… mais surtout, c’est tout plein de vérités qu’il serait bien d’y penser un peu.

Une bande dessinée trop jolie avec Michel et tous ses amis, à lire, à offrir, à chérir, à dévorer et à rigoler

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Wah c'est chaud t'as été abandonnée en fait.
Non non ils vont revenir. Ils sont justes partis à Center Parcs


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Et si les animaux, lassés de se faire abandonner, bouffer, massacrer, abattre, chasser, empailler, écraser, et corrider, se rebellaient ? La Révolte sans précédent, c'est le récit des actions coup-de-poing de La Meute, gang d'animaux écoterroristes archi-presque parfaitement organisés mais ultra motivés qui décident de se venger des humains.

Au programme : du suspense, de l'espionnage, de l'émotion, du sexe, de la lutte, de l'amour et de la castagne !

Oscar et la dame rose

Alors que la mort s’en vient, Mamie Rose relit les lettres d’Oscar, un petit garçon atteint d’une leucémie. Avec beaucoup de poésie, la bande dessinée incarne avec beaucoup d’émotions le roman d’Éric-Emmanuel Schmitt. C’est doux tendre, triste et joyeux.

Oscar et la dame rose, adaptation et dialogues de Vincent Zabus, dessins et couleurs de Valérie Vernay, d’après le roman d’Eric-Emmanuel Schmitt
Une mise en images bouleversante, remuante qui joue avec brio sur l’équilibre fragile entre le rêve, le souvenir et l’instant présent.

Alors, oui, il y a pas mal de Dieu et de Jésus, mais finalement, même sans être trop fan, ça passe encore assez bien

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Cher Dieu,
Je m'appelle Oscar, j'ai dix ans. J'ai foutu le feu au chat, au chien, à la maison (je crois même que j'ai grillé les poissons rouges).


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Sur sa terrasse, une douce soirée d'été, Mamie-Rose relit les lettres qu'Oscar a écrites à Dieu. Elle sourit en pensant à ce petit garçon dont elle fut si proche.

« Bonsoir, Mamie-Rose ». La vieille dame relève la tête : « Oscar ? C'est amusant... Je songeais justement à toi. »

La tendresse entre ces deux-là est infinie, l'un exprimant toute sa colère face à l'injustice de la maladie, l'autre camouflant ses sentiments sous sa brusquerie d'ancienne catcheuse.

Oscar et la dame rose ont bouleversé les lecteurs d'Éric-Emmanuel Schmitt. Un classique à redécouvrir !