Tout ça pue, c’est crade, aucun but ni aucun sens, de l’alcool, de la drogue, du sexe, du fric… Juste ici et maintenant. Une descente à la Trainspotting version Suisse-romande et départ pour la Thaïlande façon enfers.
Un livre pour des mains averties qui souhaitent se frotter au vide d’une bande de copains fumeurs de joints qui réussissent leur coup pour foirer leurs vies.
Un premier roman luisant comme une flaque de vomi et sordide comme une liasse de billets de banques.
Jack, des joints et ses potes… Ils sont tous morts
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
- Selon vous, qui de Dieu ou du diable est le plus puissant? demande Manu en passant le tuyau.
L'ambiance autour du narguilé est si intime, si oppressante, que l'on pourrait croire qu'en dépit du bon sens, la réponse de Stéphane va révolutionner deux mille ans d'inepties.
- Selon vous, qui de Dieu ou du diable est le plus puissant? demande Manu en passant le tuyau.
L'ambiance autour du narguilé est si intime, si oppressante, que l'on pourrait croire qu'en dépit du bon sens, la réponse de Stéphane va révolutionner deux mille ans d'inepties.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Campagne vaudoise, crépuscule des années 80. L'adolescence de Jack et ses potes se consume au rythme des bières et des mégots de joints. Des potes et des joints, il ne restera bientôt que des cendres. Ils sont tous morts, tués par les illusions de l'argent facile, par les mirages thaïlandais, par les différentes nuances de blanche et par la silhouette furtive d'une âme soeur. L'anesthésie se généralise, de la tête au coeur, et l'âme flotte, se dissipe, puis se rend
Campagne vaudoise, crépuscule des années 80. L'adolescence de Jack et ses potes se consume au rythme des bières et des mégots de joints. Des potes et des joints, il ne restera bientôt que des cendres. Ils sont tous morts, tués par les illusions de l'argent facile, par les mirages thaïlandais, par les différentes nuances de blanche et par la silhouette furtive d'une âme soeur. L'anesthésie se généralise, de la tête au coeur, et l'âme flotte, se dissipe, puis se rend