Gabriel Salin est condamné, cancer, 3 mois. Abandonné par Joséphine, il ne se remet pas de la rupture. Alors, il consomme des tranquillisants, antidépresseurs, anxiolytiques, calmants, somnifères… plus de désir, plus d’érections, plus d’envies…
Et arrive une voisine, Diane. Et…
Est-ce possible de retrouver la soif de vivre et du sexe s’il ne reste que trois mois ?
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Savoir finir en beauté ? C'est tout un art. »
Entre désinvolture et grâce déchue, débandade et érotisme débridé, autofiction et fantaisie romanesque, La Marge d'erreur fait le portrait hilarant d'un dépressif chronique plein de rage de vivre, pour les dernières semaines qu'il lui reste
« Savoir finir en beauté ? C'est tout un art. »
Entre désinvolture et grâce déchue, débandade et érotisme débridé, autofiction et fantaisie romanesque, La Marge d'erreur fait le portrait hilarant d'un dépressif chronique plein de rage de vivre, pour les dernières semaines qu'il lui reste