Si Claustria de Régis Jauffret m’avait écœuré, Antoine Jaquier met la barre tout aussi haut !
Est ce que c’est un mauvais livre ? Oh non, il est peut-être même excellent, mais là, j’avoue, c’était trop pour moi.
Je n’arrive plus à comprendre les protagonistes (ou alors je les comprends très bien, mais tout cela est trop révoltant, sale, putride, ultra-violent).
Bravo pourtant, mais pour moi, c’était trop
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Sud de Paris, juin 2013.
L'ogre de Rambouillet sort de prison. La justice estime que ce tueur d'enfants notoire a payé sa dette. Les familles des victimes voient à nouveau leur existence voler en éclats.
Une relation se tisse entre Michel, un des pères, et le bourreau. Entre désir de vengeance salutaire et fascination morbide, le désastre gronde.
De sa verve percutante en diable, le romancier questionne ses personnages sur leur capacité de survie. Michel se débat malgré eux - malgré lui-même. Trouvera-t-il les ressources nécessaires pour échapper à l'emprise tentaculaire du «monstre» Gilbert Streum ?
Un état des lieux glacial et dérangeant, échappant à toute tentation moralisatrice.
Antoine Jaquier offre un récit profondément humain qui allume autant le feu des sentiments que celui des polémiques
Sud de Paris, juin 2013.
L'ogre de Rambouillet sort de prison. La justice estime que ce tueur d'enfants notoire a payé sa dette. Les familles des victimes voient à nouveau leur existence voler en éclats.
Une relation se tisse entre Michel, un des pères, et le bourreau. Entre désir de vengeance salutaire et fascination morbide, le désastre gronde.
De sa verve percutante en diable, le romancier questionne ses personnages sur leur capacité de survie. Michel se débat malgré eux - malgré lui-même. Trouvera-t-il les ressources nécessaires pour échapper à l'emprise tentaculaire du «monstre» Gilbert Streum ?
Un état des lieux glacial et dérangeant, échappant à toute tentation moralisatrice.
Antoine Jaquier offre un récit profondément humain qui allume autant le feu des sentiments que celui des polémiques