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Catégorie : Bande-dessinée
Bandes dessinées, romans graphiques, albums, récits graphiques, livres d’images, beaux livres, romans photos… Tous genres confondus
Vuzz est une sale bête, une charogne sans morale, un guerrier sans armée. Ses plaisirs : tuer, violer, manger…
C’est une horreur absolue et c’en devient drôle… pour qui supporte
Un petit trésor minimaliste, en bleu et blanc aux traits si reconnaissables et à l’histoire bien méchante
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) Vuzz !!
Manger...
Manger??
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Une œuvre à part dans l’univers de Druillet
Vuzz est un guerrier. Un pillard qui a des besoins simples dans la vie : se battre, manger et faire l’amour. Vuzz vit dans un monde où les villes en ruines abritent zombies, lapins géants et autres sorciers pédophiles. Un monde où tout n’est que désolation et incertitudes. Un monde où Vuzz ne peut finalement compter que sur lui-même. Et ça lui va très bien comme ça...
Vuzz est un personnage à part dans l’œuvre de Philippe Druillet. Dans ses aventures, l’auteur, comme son héros, se laisse aller à son propre plaisir. Exit les grandes envolées graphiques, les fresques bariolées sur deux pages, la démesure des architectures et la noirceur assumée du propos. Ici, le récit est volontairement décalé, presque humoristique ; la narration dépouillée et la mise en scène minimaliste. Cette intégrale inédite, petit format et en noir et blanc, rassemble les aventures complète de ce anti-héros et nous fait redécouvrir l’étendue de l’imaginaire créatif d’un auteur hors-norme.
Vous ne connaissez rien aux troubles de la personnalité borderline, la dépression, les phobies…? Ou alors, vous en savez un peu quelque chose… Qu’importe. Ce livre est parfait.
Avec plein de douceur et de poésie graphique minimaliste, Pauline de Tarragon nous invite dans sa vie, son enfance, sa jeunesse et son adolescence. Ses difficultés et ses accomplissements.
C’est beau, intime et très touchant
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) J'ai observé le trou de ma tête.
J'y ai jeté quelques cailloux pour évaluer la profondeur.
Ça n'a pas fait de bruit, je n'ai pas compris.
Alors j'ai sauté.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Qu`est-ce que je vaux si je suis seule ? Ai-je le droit de disparaître dans la forêt ? A quel moment puis-je décréter que je suis folle ? Dans son premier roman graphique, Pauline de Tarragon nous ouvre les portes de son laboratoire privé, celui dans lequel elle concocte des potions pour comprendre, réparer et survivre. C`est avec humour et poésie que l`autrice nous livre un monologue intime qui touchera en plein cœur les introverti.es, les inadapté.es, les phobiques aussi bien du vide que du trop-plein, et les tristes de naissance. Ce petit bijou minimaliste, plein d`humour et de sensibilité, vous fera passer du rire aux larmes.
Les animaux en ont marre d’être bouffés, chassés, abandonnés, abattus…
Ils se révoltent !
C’est drôle, naïf, des fois subtil et souvent pas vraiment… mais surtout, c’est tout plein de vérités qu’il serait bien d’y penser un peu.
Une bande dessinée trop jolie avec Michel et tous ses amis, à lire, à offrir, à chérir, à dévorer et à rigoler
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) Wah c'est chaud t'as été abandonnée en fait.
Non non ils vont revenir. Ils sont justes partis à Center Parcs
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Et si les animaux, lassés de se faire abandonner, bouffer, massacrer, abattre, chasser, empailler, écraser, et corrider, se rebellaient ? La Révolte sans précédent, c'est le récit des actions coup-de-poing de La Meute, gang d'animaux écoterroristes archi-presque parfaitement organisés mais ultra motivés qui décident de se venger des humains.
Au programme : du suspense, de l'espionnage, de l'émotion, du sexe, de la lutte, de l'amour et de la castagne !
Alors que la mort s’en vient, Mamie Rose relit les lettres d’Oscar, un petit garçon atteint d’une leucémie. Avec beaucoup de poésie, la bande dessinée incarne avec beaucoup d’émotions le roman d’Éric-Emmanuel Schmitt. C’est doux tendre, triste et joyeux.Une mise en images bouleversante, remuante qui joue avec brio sur l’équilibre fragile entre le rêve, le souvenir et l’instant présent.
Alors, oui, il y a pas mal de Dieu et de Jésus, mais finalement, même sans être trop fan, ça passe encore assez bien
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) Cher Dieu,
Je m'appelle Oscar, j'ai dix ans. J'ai foutu le feu au chat, au chien, à la maison (je crois même que j'ai grillé les poissons rouges).
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Sur sa terrasse, une douce soirée d'été, Mamie-Rose relit les lettres qu'Oscar a écrites à Dieu. Elle sourit en pensant à ce petit garçon dont elle fut si proche.
« Bonsoir, Mamie-Rose ». La vieille dame relève la tête : « Oscar ? C'est amusant... Je songeais justement à toi. »
La tendresse entre ces deux-là est infinie, l'un exprimant toute sa colère face à l'injustice de la maladie, l'autre camouflant ses sentiments sous sa brusquerie d'ancienne catcheuse.
Oscar et la dame rose ont bouleversé les lecteurs d'Éric-Emmanuel Schmitt. Un classique à redécouvrir !
Un très bel objet ! Témoignage de la fascination de Philippe Druillet pour l’héroïne de Gustave Flaubert.
Recueil de 42 peintures accompagnées d’extraits de Salammbô dans une très belle impression, sombre et soignée.
Une Salammbô aux seins obusiens téléportée dans un univers très space-opera aux verges et pyramides métalliques flamboyantes
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) Le palais s'éclaira d'un seul coup à sa plus haute terrasse, la porte du milieu d'ouvrit et une femme, la fille d'Hamilcar elle-même, couverte de vêtements noirs, apparut sur le seuil. Elle descendit le premier escalier qui longeait obliquement le le premier étage, puis le second, le troisième, et elle s'arrêta sur la dernière terrasse, au haut de l'escalier des galères. Immobile et la tête basse, elle regardait les soldats.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Un parfum capiteux de sang au milieu des étoiles. Salammbô, femme-déesse, n'a décidément pas fini d'inspirer librement Druillet. En 2009, il renoue avec ce personnage pour en peindre 42 portraits, tour à tour sensuels, érotiques, flamboyants et baroques. Salammbô - Les Nus rassemble des reproductions pleine page de ces splendides peintures, chacune mise en scène avec une citation de l'oeuvre de Flaubert en exergue. L'ouvrage, préfacé par Michel-Edouard Leclerc, sera complété par des études préparatoires ayant présidé à la réalisation de ces toiles. Un superbe ouvrage pour les amateurs de bande dessinée, d'art contemporain, de belles images et pour tous les amoureux des femmes, tout simplement.
Voilà vraiment une très belle bande dessinée. Peut-être un peu caricaturale, mais intelligente, amusante, superbe et qui invite à la réflexion.
L’histoire de Eva qui plaque tout pour une mission sur une île déserte afin de réparer une station météorologique. Six mois en autarcie avec son chien, des poules et des conserves. L’occasion de passer par toutes la palette des émotions : le ras-le bol professionnel, l’exaltation, l’émerveillement, la contrariété, la colère, l’abattement… et
…Et ? C’est alors que l’histoire démarre vraiment avec un gros plan sur l’envers du décor de notre société.
Un magnifique album pour les jeunes… et même plus
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) Mpf...
Nuit pourrie.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Eva, ingénieure dans une grande société, s'interroge sur le sens de son activité. Elle répond à une annonce concernant un poste sur une petite île déserte, perdue au milieu du Pacifique Sud. Sur place, elle devra réparer une station météorologique et tester la vie en autarcie avec pour seul compagnon, sa chienne, Puce. Une fois arrivée, elle découvre un endroit à la beauté époustouflante. Son désir de nature est comblé, elle s'attelle à sa tâche et découvre une nature foisonnante et des fonds marins plein de vie. Sur l'île, en plus de ses travaux quotidiens, elle arpente son environnement et en explore tous les recoins. Mais la vie en autonomie, sans aide, est-elle réellement possible ? Et un tel endroit, encore préservé, peut-il échapper à la convoitise de la société de consommation ? Va-t-elle rester seule sur son île ? Jusqu'où Eva sera-t-elle prête à aller pour défendre ses convictions, et sa propre vie ?
Trois jeunes filles ado dans un monde où les hommes ont disparu se retrouvent à sauter dans un trou vers (hoops ! Oui, des gros vers oranges) et vont devoir se confronter à leurs peurs.
Une petite bande dessinée un peu naive – un peu rigolote, aux dessins qui alternent entre graphisme numérique d’une grande platitude et personnages plutôt réussis.
De l’empowerment féministe à la girl power !
Allez les copines, ensemble on est les plus fortes
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) Encore en retard !
Elle me fatigue !
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Kubo, Pippa et Gor sont trois adolescentes qui vivent dans un monde sans hommes. Ces derniers ont disparu mystérieusement il y a plus d'un an. Profitant d'une pause, les filles décident de sécher les cours et de fumer un énième joint en cachette.
C'est ainsi qu'elles tombent dans un hoop ou un trou de vers spatio-temporel, aussi rond et brillant que les anneaux qu'elles portent aux oreilles, et atterrissent dans un paradis infernal. Elles vont devoir trouver la sortie en utilisant toutes les astuces possibles et en faisant appel aux pouvoirs qu'elles ignorent posséder.
Hoops est une aventure d'exploration personnelle et d'empowerment.
Une lutte pour découvrir que le chemin vers l'autre côté est avant tout un voyage intérieur.
Tous les contes y passent, Blanche-Neige, les petits cochons, le haricot magique de Jack, des loups, des princes, des citrouilles, des maisons en massepain, pommes et crapauds et j’en oublie et plus encore. Le tout dans une soupe magique pour un résultat gignolesque et hilarant.
Le dessin est magnifique et les contes tournés en dérision en deviennent bien plus contemporains. Une bande dessinée qui permet d’une bien drôle de façon de détricoter bien des clichés un peu moisis, un peu vieillis
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) Il était une fois sept ours nains qui travaillaient dur dans les mines de sel. Un soir qu'ils rentraient à la maison fourbus, ne souhaitant que deux choses :
La ! la ! la ! Manger !!
La ! la ! la ! Dormir !!
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Réunit :
Boucle d'or et les sept ours nains
La faim des sept ours nains
La belle aux ours nains
Mais qui veut la peau des ours nains ?
Quand un prince s'appelle Boucle d'Or et que les ours ne sont pas trois mais sept, c'est compliqué mais on s'en sort.
Quand un chat aux bottes fourrées sonne à la porte des sept ours en question, ça n'arrange pas tellement nos histoires, mais bon...
Quand l'un de nos ours part chercher un prince pour une enquiquineuse de princesse en détresse, n'en parlons pas...
Quand une nouvelle princesse s'invite en coloc avec une peau d'âne mort sur la tête, c'est la déconfiture.
Héros timbrés, héroïnes foldingues, monstres ridicules...
L'univers des ours nains réuni en une compilation intégrale.
Chabouté signe ici une adaptation magistrale de l’ œuvre de Herman Melville.
Construction, mise en page, graphisme, scénarisation… tout participe à la montée de la tension du roman original. Jusqu’à la folie qui défigure le visage du capitaine dans un final d’effroi.
Un voyage sur les flots bleus en noir et blanc qui se termine dans une apothéose rouge sang
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) Livre premier
Mirages
Prenez le plus distrait des hommes, absorbé dans la plus profonde des rêveries, dressez-le sur ses jambes, invitez le à poser un pied devant l'autre et il vous conduira infailliblement vers l'eau.
Livre second
Queequeg dans son cercueil
Tous les baleiniers mourant à Nantucket étaient couchés dans ces pirogues noires, l'idée d'être lui-même étendu de la sorte lui avait beaucoup plu.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Livre premier
Des campagnes de pêche de plus de trois ans, les dangers de l'océan, la chasse elle-même où, armés de simples lances et harpons à bord de légères chaloupes, les marins s'exposent aux réactions redoutables et aux assauts furieux de cachalots de plus de soixante tonnes. En plus de la chasse, le travail harassant de remorquage, de dépeçage et de fonte du lard afin d'en extraire la précieuse huile ; souvent trois jours d'efforts continus sans le moindre repos... Les conditions de vie extrêmes de ces hommes, les dangers quotidiens où les matelots exorcisent leur peur en la muant en rage à l'encontre des cétacés qu'ils massacrent. Rage sournoisement attisée par cette folie de vengeance aveugle et obsessionnelle du capitaine Achab envers Moby Dick, le cachalot blanc qui lui a arraché la jambe par le passé.
Chabouté met sa vision personnelle et sa maîtrise du noir et blanc au service de ce classique de la littérature américaine. Une adaptation magistrale, fidèle au récit original et à l'esprit d’Herman Melville, reflétant la frontière étroite entre l'acharnement et la folie, baignant dans le sang, l'huile et la sueur d'un navire baleinier de la fin du XIXe siècle.
Livre second
Otage de l’obsession de son capitaine, le Pequod continue sa lente et inexorable mission. Car qu’importe le spermaceti, qu’importent l’huile et la richesse, Achab n’a qu’un seul objectif : traquer et tuer la bête qui lui arracha sa jambe.
Moby Dick... un nom qui sonne comme une dangereuse légende. Un nom rempli d’effroi pour l’équipage et tous les baleiniers qu’ils croisent, forçats de la mer pourtant habitués aux périls de l’océan. Sur le sillage du cachalot blanc, les eaux sentent la mort... Consumé par sa soif de vengeance, Achab se décompose physiquement. Sa haine devient folie. Si bien que ses hommes s’interrogent : le réel danger est-il en mer ou à bord ?
Fidèle au récit original et à l’esprit du roman d’Herman Melville, Chabouté conclut son adaptation magistrale de Moby Dick, reflétant plus que jamais la frontière étroite entre l'acharnement et la folie, baignant dans le sang, l'huile et la sueur d'un navire baleinier de la fin du XIXe siècle.