Les plus belles filles de la BD érotique

Un recueil des plus belles filles de la BD érotique, l’idée était très séduisante et le résultat plutôt sexy, voir carrément porn, mais…

Sex in Italy de Luca Tarlazzi

Mais comme dans tous ces recueils, comme dans tous les top, best-of et meilleurs des…, il nous manque toujours celle qui nous avait flashé, il y en avait tant…

Esmera de Zep et Vince

Mais c’est quand même une jolie collection de ces souvenirs amusés (souvent trop courts), de toutes ces bandes dessinées d’une époque aux courbes envoûtantes avec, par exemple :
Alex de Christian Zanier, Anita de Guido Crepax, Aude dans La survivante de Paul Gillon, Beba de Baldazzini, Blanche Épiphanie de Georges Pichard et Jacques Lob, Claudia Christiani du Déclic de Milo Manara, Druuna de Serpieri, Esmera de Zep et Vince, Little Ego de Vittorio Giardino, Erma Jaguar d’Alex Varenne, Giovanna de Giovanna Casotto, Gwendoline de John Willie, Nanna la déesse de Nephyla et Katia Even, Serena dans Sex in Italy de Luca Tarlazzi, Sixella de Janevsky… et beaucoup d’autres !

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Elles font rêver les lecteurs depuis un demi-siècle : les plus belles filles de la BD érotique se dévoilent !

Druuna, Anita, Miel, Janice... Certains connaissent les noms - et la plastique - de ces créatures de rêve sans même avoir lu leurs aventures. Parce qu'elles incarnent chacune à leur manière la beauté et le sex appeal de leur époque, ces héroïnes de BD ont traversé le temps et marqué la libido de générations de lecteurs. Cette anthologie leur rend hommage en réunissant le meilleur de 50 ans de bande dessinée érotique, et tente de répondre à cette épineuse question : mais comment diable leurs créateurs parviennent-ils, en quelques traits, à inventer d'aussi jolies filles ?

Du Déclic (Milo Manara) à La Pharmacienne (Esparbec et Igor & Boccère) en passant par La Survivante (Paul Gillon), Pinocchia(Francis Leroi et Jean-Pierre Gibrat), Mona Street (Leone Frollo)...

Près de 80 extraits issus du meilleur de la bande dessinée érotique, qui mettent en scène les plus belles héroïnes du genre

Un peu d’amour

Une petite merveille de poésie commencée à être dévoilée strip par strip durant le confinement…

Les nouvelles aventures de Lapinot, tome 4 : Un peu d’amour de Lewis Trondheim

Un bonheur de poésie à l’humour timide et délicat

J’ai juste pas trop compris le comment ou pourquoi de la séparation d’avec Cléa… manquait-il un ou deux strips dans la BD disparus lors du choix d’ordonnancement des 132 strips fait par terre ?

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Si les livres étaient comestibles, mangerions-nous ceux que nous n'avons pas aimés ?

Moi, ce que j’aime, c’est les monstres

Une petite fille dans un quartier défavorisé de Chicago des années 60 qui se prend pour un loup-garou détective.

Moi, ce que j’aime, c’est les monstres de Emil Ferris

Son histoire entre sa mère malade, son frère qu’elle suspecte d’avoir tué la voisine, les copines ??? d’école et les monstres

Un chef-d’oeuvre, même s’il peut être un peu difficile d’accès et que je n’ai possiblement pas tout compris (attendons le tome 2). Un magnifique travail d’édition (un peu lourd quand même)

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
J'ai monté le son pour qu'on ne sache pas ce que je faisais, parce que...
... ça serait vraiment la cata...
... si maman se pointait et me trouvait comme ça.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Journal intime d'une artiste prodige, moi, ce que j'aime, c'est les monstres est un kaléidoscope brillant d'énergie et d'émotions, l'histoire magnifiquement contée d'une fascinante enfant au cœur du Chicago en ébullition des années 1960. Dans cette œuvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionisme féroce, les hachures d'un Crumb et l'univers de Maurice Sendak

Abécéd’hair Approxima’tif

C’est drôle, très !

Abécéd’hair Approxima’tif de Penseur étoile et Un Faux Graphiste

Rien à ajouter, ruez-vous dessus, prenez-en cinq ou six ! (plus une dizaine pour les offrir avant qu’on ne vous les vole)

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
120 jeux de mots, anagrammes, paronymes ou encore homophones

Last Man, tome 12

Et voilà enfin le douzième et dernier (?) tome annoncé de Last Man. Magnifique !

Last Man 12 de Balak, Michaël Salanville et Bastien Vivès

Et me voilà, partagé entre tristesse, émotion, un brin de déception (on en voudrait toujours plus) et plein de bons souvenirs de cette géniale aventure !

Scénario au top, dessin parfait, personnages vivants et complexes, de la violence, des émotions, de l’amour, de l’humour et de la dérision… Good Job !

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Richard revient pour un dernier voyage dans la Vallée des Rois, pour faire face à un ennemi intime : le premier homme à avoir franchi la frontière d'Ether.

Le passé et le présent, la vie et la mort, l'ordre et le chaos se mélangent pour un final apocalyptique dont nul ne peut prédire l'issue.

Une seule chose est sûre : « Gare à celui qui trop loin flâne du souffle chaud de Reine Iguane... »

Super héros : super pas au point

Des bonnes blagues à l’humour potache en page double. Super(pouvoir) drôle !

Super héros : super pas au point de Walter Glassof et Pierredo Burgaud

Mais tout ça manque un peu de matière quand même.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
De Super Godasse Man, qui est capable de voir à travers les chaussures, à Super Télépathe Woman, qui lit dans les pensées des poissons rouges, découvrez les portraits délirants et poétiques de vrais Super-Héros, avec de vrais super-pouvoirs... mais qui ne servent à rien !

Rien du tout. Sinon à nous faire rire

Blast

Un homme, obèse à la dérive. A la recherche du blast, le flash de lumière et de couleur, l’instant de contact avec l’univers et la conscience universelle. Une dérive dans le caniveau, la foret, les drogues, l’alcool, la violence et les barres chocolatées

Blast de Manu Larcenet

Un livre sur la descente en folie

Le tout sur le fond d’une enquête et de meurtres à élucider face au coupable idéal

Un chef d’oeuvre, noir et lumineux comme un oxymore sans contradiction

Quatre tomes : Grasse carcasse, L’apocalypse selon Saint Jacky, La tête la première, Pourvu que les Bouddhistes se trompent

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
1 : Un homme seul, obèse et sale est amené au commissariat. Au cours de l'interrogatoire, il livre sa vie et explique comment il a, un jour, lâché prise, et est parti sur les routes à la recherche du Blast, cet instant magique où tout s'illumine et où la vie devient parfaite

2 : Je mens, Je mens toujours. Je dis que je ne me souviens de rien, que je suis né du matin, Je dis que je comprends, qu'à votre place, sans doute, j'aurais ri aussi. Je mens pour un peu de repos, d'indulgence, pour le pardon de ma dissemblance, Je mens aussi pour ne pas vous massacrer à mon tour.
Je mens toujours car, en réalité, je me souviens de tout

3 : Je pèse deux hommes.
L'un vous aime tant qu'il vous léchera la main pour l'aumône d'une caresse. Il fera où vous lui direz, demandera la permission, courbera le dos sous la trempe, pourvu que vous lui accordiez une place près de vous.
Un homme-chien. L'autre, sans trêve ni repos, depuis toujours, n'a d'autre obsession que de vous faire baisser les yeux.
Puis de les crever

4: Un vent lourd, puant suie et cadavre, gronde sur la route et me glace. L'orage approche. Je ne cherche aucun abri, il n'en existe pas à ma taille. Je claudique au bord du chemin, ivre comme toujours, dans l'espoir que la distance entre nous se réduise, que nos peaux se touchent enfin.
Sali, battu, hagard, je repousse le moment où, le souffle court et les pieds meurtris par de mauvaises chaussures, je devrai m'arrêter. Serai-je encore assez vivant pour repartir ?

Un faux livre

Un faux livre et un faux livre tome 2 par Un faux graphiste. Un faux graphiste qu’on retrouve d’ailleurs dans le brillantissime le petit guide de l’effondrement.

Un faux livre de Un faux graphiste

Anciens comics détournés, gravures, images d’Épinal… tout y passe et ça fait du bien, même si parfois l’excès pourrait nuire et lasser. Des BD à feuilleter plus qu’à dévorer

Un faux livre, tome 2 de Un faux graphiste

Humour absurde, cruel, gras ou subtil… tout est au rendez-vous

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Le distributeur automatique d'auréoles, la poire à lavement géante, Bozo l'exécuteur rigolo, MC Goebbels et ses lubies jamaïcaines, le réfugié syrien et ses 600 mètres carrés avec Jacuzzi, l'inventeur de l'autobronzant, Kroha l'homme des cavernes culturiste, le supplice des blagues stigmatisantes, l'armée des hommes-choux, Pinpin le lapin SDF sortant de prison, et bien d'autres... Il y en aura pour tout le monde !!

Dialogues

Avec un dessin simplifié aux contours, quelques ombres et parfois un peu de sang rouge, cette BD se concentre sur son titre : les dialogues ! Sans oublier le langage corporel, pris dans un plan plus large. Et c’est absolument réussi !

Dialogues de Karibou

Humour absurde et anachronismes au rendez-vous en compagnie de Dieu, Jésus, César, Achille, James Bond…

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Note
Je suis venu, j'ai vu, j'ai vainquit
Vaincu, empereur


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Des dialogues décalés, anachroniques et humoristiques, fondés sur des disputes, des digressions et des quiproquos

Le retour à la terre, tome 6 : Les métamorphoses

Le tome 6 comme l’occasion de relire toute la série, brillante !

Le retour à la terre, tome 6 : Les métamorphoses de Manu Larcenet et Jean-Yves Ferri

La famille va s’agrandir et les peurs avec. Mais la campagne est belle et Capucine et Mariette tout autant

Des rires et des sourires, de la tendresse et des angoisses… Le tome 6 complète magnifiquement la série

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
- Vous rentrez à Paris ?

- Non Manu, voyez-vous, ce voyage m'a ouvert les yeux...
Il a réveillé en moi le guerrier Masaï aux sens aiguisés comme des silex. Je serai dorénavant « l'Esprit à l'Arc » et je combattrai l'injustice partout dans la forêt !