Une merveille d’humour, un regard incisif entre dérision, ironie et cynisme sur la condition humaine. Un voyage jouissif autour du monde à la rencontre du grand et des minuscules.
Vingt nouvelles d’une plume magnifique!
Essais, documentaires, témoignages…
Une merveille d’humour, un regard incisif entre dérision, ironie et cynisme sur la condition humaine. Un voyage jouissif autour du monde à la rencontre du grand et des minuscules.
Vingt nouvelles d’une plume magnifique!
Peut-être sur un blog… Et encore. Une tête bien faite n’excuse pas la pauvreté des propos.
Parfois amusant, généralement inutile et évidement déjà oublié.
Une déconstruction des mythes, un hommage rendu aux femmes et à leur participation dans la lutte contre les lois ségrégationnistes dans le sud des Etats-Unis. Une écriture impliquante, personnelle, un style qui vous prend et vous secoue!
Désormais vous êtes noire aurait-elle peut-être dû écrire.
C’est drôle léger et acide comme un bonbon qui pique. Pas de pathos ni d’apitoiement. Charlotte est handicapée et elle parle avec humour de ses difficultés.
La démolition d’un tabou au burin! Intimidant, impudique, drôle et grave.
Un livre qui touche au fond de l’intime.
Du cul, du cul et du cul, et bien profond.
Rigolo quand même cette quête d’absolu dans la soumission et ces théories analytiques sur la sodomie d’une ex danseuse.
Un livre voyeur qui voudrait dénoncer le voyeurisme? Voilà que je reste perplexe, voir mal à l’aise. C’est comme si il fallait déshabiller et dénuder encore Eva, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien que la bave des concupiscents sous les projecteurs.
Et surtout: encore un auteur qui parle de lui, lui et elle et, parfois, elle et sa mère. Pourquoi tant d’égo dans une bio?
Finalement, merde aux références et citations élitistes et prétentieuses!
Une prof, des brèves. Rigolo 🙂
En plus, ça sent le vrai vécu authentique.
Un témoignage épidermique. Suffisant pour faire peur aux enfants trop aventureux?
Hélas, tellement focalisé sur la cocaïne qu’il fait passer l’héroïne au second plan. Dommage.
Caroline Valentiny nous emmène au plus profond de plus rien, de son incompréhension d’elle même, du vide et la confusion qui l’envahit à la fin de son adolescence. Elle nous raconte la douleur, les médecins, les médicaments avec – en écho – sa mère qui craint de la voir disparaitre dans la dépression, l’anorexie et les traitements inutiles.