Julie Birmant propose ici une Isadora Duncan emportée par sa soif de vivre, un peu illuminée et capricieuse, obsédée par la gloire et rencontrant le grand monde à la recherche de notoriété.
Malheureusement, peu de danse et d’envolée alors que le dessin de Clément Oubrerie est absolument parfait pour ces représentations.
Une artiste radicale qui tente d’imposer sa vision de la danse, peut-être un peu trop moderne pour l’époque
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Isadora Duncan a vingt ans et c'est une énigme.
Comment cette Américaine sans le sou, exaltée, aussi libre que naïve, parvient-elle au sommet de la gloire en 1903 ?
Scandaleuse sans le savoir, petite flamme que rien ne peut éteindre - sauf peut-être une écharpe trop longue - elle danse sa vie et ne ressemble à personne.
La musique la traverse, Chopin ou Wagner, elle bouge en s'inspirant des vagues, de la Grèce antique, de Rodin.
Que vient donc voir la foule qui se presse à ses spectacles ? Un phénomène, une artiste aux pieds nus ou une guerrière vaillante, livrant bataille contre l'Histoire et ses tragédies ?
Isadora Duncan a vingt ans et c'est une énigme.
Comment cette Américaine sans le sou, exaltée, aussi libre que naïve, parvient-elle au sommet de la gloire en 1903 ?
Scandaleuse sans le savoir, petite flamme que rien ne peut éteindre - sauf peut-être une écharpe trop longue - elle danse sa vie et ne ressemble à personne.
La musique la traverse, Chopin ou Wagner, elle bouge en s'inspirant des vagues, de la Grèce antique, de Rodin.
Que vient donc voir la foule qui se presse à ses spectacles ? Un phénomène, une artiste aux pieds nus ou une guerrière vaillante, livrant bataille contre l'Histoire et ses tragédies ?