Quelle réussite, quelle brillante adaptation !
Si vous cherchez un Marsupilami tout choupinou, une histoire pour endormir les petits enfants avec des blagounettes un peu niaiseuses générées à la pelle par une IA dégénérée… passez votre chemin !
La bête, une histoire de caractère, avec quelques messages biens vus au milieu d’un Bruxelles au sortir de la 2e guerre. C’est dur et violent, ça parle d’amour, d’enfance et d’animaux. Une histoire qui peut déraper à tout instant et qui reste sur le fil tout du long.
Et si ce deuxième tome est peut-être un micro-poil en dessous de mes attentes, reste une magnifique réinterprétation de la créature de Franquin !
Et le tome 1, c’est ici