Maigret fait aussi des erreurs ! Et là, une petite vieille – la folle – va en faire les frais.
Dans cet opus qui compte parmi les dernier (mais aussi dans bien d’autres) il est intéressant de voir l’importance du « qu’en dira-t-on » et de son traitement par Simenon. Maigret qui n’ose pas embrasser sa femme sur un banc, mais qui – flegmatique – souligne les injustices faites aux femmes qui sont jugées bien plus sévèrement que les hommes ainsi que nombre de petites hypocrisies.
Simenon féministe ?
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
L'agent Picot se tenait en faction du côté gauche du portail, quai des Orfèvres, tandis que son camarade Latuile se tenait du côté droit. Il était environ dix heures du matin. On était en mai ; le soleil était vibrant et Paris avait des couleurs pastel.
L'agent Picot se tenait en faction du côté gauche du portail, quai des Orfèvres, tandis que son camarade Latuile se tenait du côté droit. Il était environ dix heures du matin. On était en mai ; le soleil était vibrant et Paris avait des couleurs pastel.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
La police n'en finirait pas, si elle devait tout prendre au sérieux. Par exemple, les craintes de cette vieille dame, à l'évidence un peu dérangée, qui prétend être suivie et ajoute que des objets bougent chez elle...
Pourtant, Léontine de Caramé est bel et bien retrouvée assassinée dans son appartement. Maigret doit-il soupçonner Angèle, qui ne fréquentait guère sa vieille tante que dans l'espoir de toucher l'héritage ? Y a-t-il un lien entre cette affaire et le subit départ pour Toulon du Grand Marcel, barman bien connu de la police et amant d'Angèle ? Il n'y avait pas d'argent chez Léontine lorsqu'elle a été tuée.
Mais les tiroirs des vieilles dames renferment parfois des secrets autrement surprenants...
La police n'en finirait pas, si elle devait tout prendre au sérieux. Par exemple, les craintes de cette vieille dame, à l'évidence un peu dérangée, qui prétend être suivie et ajoute que des objets bougent chez elle...
Pourtant, Léontine de Caramé est bel et bien retrouvée assassinée dans son appartement. Maigret doit-il soupçonner Angèle, qui ne fréquentait guère sa vieille tante que dans l'espoir de toucher l'héritage ? Y a-t-il un lien entre cette affaire et le subit départ pour Toulon du Grand Marcel, barman bien connu de la police et amant d'Angèle ? Il n'y avait pas d'argent chez Léontine lorsqu'elle a été tuée.
Mais les tiroirs des vieilles dames renferment parfois des secrets autrement surprenants...