Une difficile renaissance, une quête ou un vagabondage ? Veuf, Evguéni Petrovitch erre tristement dans ce tout petit livre à la détresse nostalgique.
Comme un instant de mélancolie de Paris à Chicago.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Le Mal noir raconte l'exil vers les Etats-Unis d'un émigré russe dont la compagne est morte pendant un bombardement en France, alors qu'ils faisaient tendrement l'amour. C'est le sixième récit de Nina Berberova à paraître en français, et c'est, de son propre aveu, le plus important. Jamais elle n'avait, comme ici, poussé l'ellipse et la métaphore à ce point d'excellence où le moindre détail illumine l'obscure absurdité du destin.
Le héros incarne cette fois à lui seul la détresse profonde des humanistes slaves qui ont erré longtemps, dépouillés de leur territoire, de leurs affections, de leurs lecteurs et de leur langue
Le Mal noir raconte l'exil vers les Etats-Unis d'un émigré russe dont la compagne est morte pendant un bombardement en France, alors qu'ils faisaient tendrement l'amour. C'est le sixième récit de Nina Berberova à paraître en français, et c'est, de son propre aveu, le plus important. Jamais elle n'avait, comme ici, poussé l'ellipse et la métaphore à ce point d'excellence où le moindre détail illumine l'obscure absurdité du destin.
Le héros incarne cette fois à lui seul la détresse profonde des humanistes slaves qui ont erré longtemps, dépouillés de leur territoire, de leurs affections, de leurs lecteurs et de leur langue