Du cul, du cul et du cul, et bien profond.
Rigolo quand même cette quête d’absolu dans la soumission et ces théories analytiques sur la sodomie d’une ex danseuse.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Dans ce récit autobiographique fort troublant, Toni Bentley, ancienne danseuse étoile, nous conte les joies du «holy fuck», la sodomie qui enseigne l'absolu abandon. Au-delà de son aspect profondément érotique, cette longue offrande, cette confession d'une incroyable liberté épouse la forme d'une somptueuse lettre d'amour et de gratitude, adressée à A-Man, l'homme par excellence qui, 298 fois en deux ans, révéla l'extase mystique à l'auteur. En la pénétrant «religieusement», A-Man lui procure une jouissance qui la vide de son moi, expérience qui la mène, au cours de rituels soigneusement orchestrés, aux confins du plaisir absolu.
Dans ce récit autobiographique fort troublant, Toni Bentley, ancienne danseuse étoile, nous conte les joies du «holy fuck», la sodomie qui enseigne l'absolu abandon. Au-delà de son aspect profondément érotique, cette longue offrande, cette confession d'une incroyable liberté épouse la forme d'une somptueuse lettre d'amour et de gratitude, adressée à A-Man, l'homme par excellence qui, 298 fois en deux ans, révéla l'extase mystique à l'auteur. En la pénétrant «religieusement», A-Man lui procure une jouissance qui la vide de son moi, expérience qui la mène, au cours de rituels soigneusement orchestrés, aux confins du plaisir absolu.