Voilà, c’est fini. Mort! L’heure du bilan, le moment de disséquer sa vie sous le bistouri d’Égoïne, jeune – et forcément belle – étudiante en médecine.
Entre humour, nostalgie, fantasmes et regrets, Jean-Louis Fournier dresse le testament de son éternité, le portrait qu’il aurait souhaité laisser.
C’est doux et tendre, lui qui ne l’a pourtant pas toujours été.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
"Je suis mort.
C'est pas le pire qui pouvait m'arriver."
Jean-Louis Fournier s'est fait autopsier par la charmante Egoïne pour qu'on sache ce qu'il avait dans la tête, dans le coeur et dans le ventre
"Je suis mort.
C'est pas le pire qui pouvait m'arriver."
Jean-Louis Fournier s'est fait autopsier par la charmante Egoïne pour qu'on sache ce qu'il avait dans la tête, dans le coeur et dans le ventre