Après avoir lu l’impressionnante adaptation en bande dessinée de Fred Duval et Didier Cassegrain, je me suis quand même (après quelques hésitations) lancé sur l’original signé Michel Bussi.
Hélas, la magie n’opère pas de la même façon lorsqu’on connait les trucs du prestidigitateur.
Reste un excellent polar à la construction horlogère, chef d’œuvre de chausses-trappes et d’illusionnisme.
Et juste comme ça, cher Michel, je n’arrive toujours pas à croire qu’un flic amoureux se tire parce qu’on tue un chien
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Trois femmes vivaient dans un village.
La première était méchante, la deuxième était menteuse, la troisième était égoïste.
Leur village portait un joli nom de jardin. Giverny.
Trois femmes vivaient dans un village.
La première était méchante, la deuxième était menteuse, la troisième était égoïste.
Leur village portait un joli nom de jardin. Giverny.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Tout n'est qu'illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels.
Au cœur de l'intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps
Tout n'est qu'illusion, surtout quand un jeu de miroirs multiplie les indices et brouille les pistes. Pourtant les meurtres qui troublent la quiétude de Giverny, le village cher à Claude Monet, sont bien réels.
Au cœur de l'intrigue, trois femmes : une fillette de onze ans douée pour la peinture, une institutrice redoutablement séduisante et une vieille femme aux yeux de hibou qui voit et sait tout. Et puis, bien sûr, une passion dévastatrice. Le tout sur fond de rumeur de toiles perdues ou volées, dont les fameux Nymphéas noirs. Perdues ou volées, telles les illusions quand passé et présent se confondent et que jeunesse et mort défient le temps