Camiothécaire-biblioneur aux lectures éclectiques. Romans, essais, biographies et autobiographies, récits de voyage, bandes dessinées, nouvelles, chroniques, témoignages… des critiques selon l'humeur
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Ces entretiens sont issus d'une émission d'Edmond Blattchen sur les ondes TV5 et RTBF qui accueillent des personnalités issues des sciences humaines et exactes, de la politique, des arts, de la musique, des lettres, de la société laïque comme des divers courants philosophiques et religieux. Un rendez-vous de la pensée contemporaine
Les 20 bonnes raisons d’arrêter de lire de Pierre Ménard m’ont tellement plu que je crois que je m’en vais les relire une seconde fois!
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Gérard de Nerval promène dans Paris un homard au bout d'une laisse avant d'être soigné dans un asile psychiatrique, les admirateurs de Goethe se suicident après la publication de Werther, Proust ne veut plus parler qu'à des ducs, George Orwell vit parmi les sans-abri et Borges perd la vue. Tous ces drames n'ont qu'une seule et même cause : la lecture, ce «vice impuni» selon Larbaud.
Et si lire était dangereux pour la santé et pour la société, au même titre que l'alcool et le tabac ?
Et si lire rendait laid, fainéant, pédant ou snob ?
Et si lire pouvait ruiner votre carrière professionnelle, ou même vous rendre la vie insupportable ?
C'est le point de départ de ce joyeux pamphlet qui, en une vingtaine de chapitres décapants, passe en revue tous les défauts des livres, afin de vous débarrasser à jamais de ce fléau
Hébençaalors… J’ai encore des étoiles dans les yeux avec la petite Malika de Habiba Mahany et Mabrouck Rachedi.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Voici la chronique de la vie aventureuse de Malika, jeune surdouée dans une cité de banlieue. Trop mature pour ses copines, trop singulière pour les adultes, Malika cultive sa différence.
Écrit à deux voix et composé en vingt-deux tableaux, La Petite Malika est un roman plein de fraîcheur et de drôlerie qui évoque avec délicatesse la difficulté de grandir.
Difficile de se relever après le quatrième mur de Sorj Chalandon.
Sonné!
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) « L'idée de Samuel était belle et folle : monter l'Antigone de Jean Anouilh à Beyrouth. Voler deux heures à la guerre, en prélevant dans chaque camp un fils ou une fille pour en faire des acteurs. Puis rassembler ces ennemis sur une scène de fortune, entre cour détraite et jardin saccagé.
Samuel était grec. Juif, aussi. Mon frère en quelque sorte. Un jour, il m'a demandé de participer à cette trêve poétique. Il me l'a fait promettre, à moi, le petit théâtreux de patronage. Et je lui ai dit oui, Je suis allé à Beyrouth le 10 février 1982, main tendue à la paix. Avant que la guerre ne m'offre brutalement la sienne...»
S. Ch.
Finalement, Twilight, ça pourrait presque fascinant si des dialogues pareils étaient plus fréquents.
Hélas… Sans hésitation, aucune tentation pour la révélation.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville de l'Etat de Washington pour vivre avec son père. Au lycée, Bella est attirée par une étrange fratrie de deux filles et trois garçons. Elle finit par tomber amoureuse de l'un d'eux Edward Cullen. Naît alors entre les deux adolescents une relation sensuelle et dangereuse.
Lu, pour de vrai, dans le Manuel du savoir vivre aujourd’hui de Michèle Curicio de 1981! C’est vieux, mais pas tant.
Brrrr….
Allez, les filles on s’exerce… vous ne voudriez quand même pas rester célibataires!
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Hésitant velléitaire, perdu, Louis ne parvient plus à écrire. Même sa compagne aimante, Olivia, a déserté le champ de ruines qu'est devenue son existence.
Un beau jour, un vieux copain éditeur lui propose de rédiger les mémoires d'une célébrité. Il faut bien gagner sa vie, Louis accepte donc...
Dans la veine de La Femme de l'analyste, Bruno Tessarech signe un nouveau roman, autobiographique et drôle, sur l'écriture - ses vérités et ses mensonges
Bon, j’ai pas encore fini et c’est un peu érudit pour moi, mais celle-là, elle m’a bien fait rigoler.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) « La lecture n'est pas contre la vie. Elle est la vie, une vie plus sérieuse, moins violente, moins frivole, plus durable, plus orgueilleuse, moins vaniteuse, avec souvent toutes les faiblesses de l'orgueil, la timidité, le silence, la reculade. Elle maintient, dans l'utilitarisme du monde, du détachement en faveur de la pensée. Lire ne sert à rien. C'est pour cela que c'est une grande chose. Nous lisons parce que ça ne sert à rien. »
Des conseils, des douceurs, des rosseries, et une conception de la lecture comme « soeur de la littérature », toutes deux marchant ensemble dans un combat contre le temps. Une philosophie de la lecture qui fait s'exclamer, s'enthousiasmer, applaudir, et qui ne donne qu'une envie : (la) relire