Une joggeuse disparue dans la forêt voilà trois ans. La mère qui y campe depuis et une flic qui ne réussi pas à lâcher l’affaire.
Autour de ce scénario assez prometteur et quelques personnages secondaires, l’histoire ne réussit toutefois pas à s’envoler.
Et si les magnifiques dessins de forêt m’ont emballé, les personnages m’ont laissé froid pour un résultat final peu convaincant
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Dans la forêt
Je cours
Je cours
Sur les sentiers
Je me perds
Les feuilles mortes
Sous mes pieds
Craquent
Dans la forêt
Je cours
Je cours
Sur les sentiers
Je me perds
Les feuilles mortes
Sous mes pieds
Craquent
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Là où l'asphalte s'arrête, là où les sentiers s'effacent, là où les joggeuses se perdent…
C’est au cœur de la forêt que vont s'entrecroiser les trajectoires d’une mère dont la fille unique a disparu et celles d’une jeune policière qui ne veut pas se résoudre à clore l’enquête.
Dans ce roman graphique hypnotique, Jean-Christophe Chauzy et Antony Pastor explorent les lisières de notre société : les marginaux qui choisissent la rupture et les citoyens des banlieues pavillonnaires qui finissent par se dissoudre à force d'anonymat. Un magnifique portrait d’un monde qui déshumanise à force de consumérisme et de conformisme
Là où l'asphalte s'arrête, là où les sentiers s'effacent, là où les joggeuses se perdent…
C’est au cœur de la forêt que vont s'entrecroiser les trajectoires d’une mère dont la fille unique a disparu et celles d’une jeune policière qui ne veut pas se résoudre à clore l’enquête.
Dans ce roman graphique hypnotique, Jean-Christophe Chauzy et Antony Pastor explorent les lisières de notre société : les marginaux qui choisissent la rupture et les citoyens des banlieues pavillonnaires qui finissent par se dissoudre à force d'anonymat. Un magnifique portrait d’un monde qui déshumanise à force de consumérisme et de conformisme