Un petit polar de gare bien sympa, vraiment !
Ce grand prix de la littérature policière en 1956, raconte une histoire surprenante. L’assassinat de Sylvie Sarment, starlette de cinéma que tout le monde (j’exagère un peu) s’accuse d’avoir tué.
Des dialogues peut-être un poil vieillots (on écrit plus vraiment comme ça) pour un polar très cinématographique.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Une vedette de cinéma assassinée. »
Sensation dans le Tout-Paris. De l'Elysées-Club au Fouquet's, d'Epinay à Boulogne, chacun se demande qui a bien pu assassiner Sylvie Sarment. Certains ont leur petite idée. « C'est un drame passionnel », dit l'un. « II paraît qu'elle se droguait », murmure une bonne âme. « Son mari va hériter », insinue un fauché, « Elle n'avait aucun talent », affirme une starlette.
Les journaux proclameront demain SYLVIE N'AVAIT QUE DES AMIS. Parmi tous ces amis se trouve l'assassin de Sylvie
« Une vedette de cinéma assassinée. »
Sensation dans le Tout-Paris. De l'Elysées-Club au Fouquet's, d'Epinay à Boulogne, chacun se demande qui a bien pu assassiner Sylvie Sarment. Certains ont leur petite idée. « C'est un drame passionnel », dit l'un. « II paraît qu'elle se droguait », murmure une bonne âme. « Son mari va hériter », insinue un fauché, « Elle n'avait aucun talent », affirme une starlette.
Les journaux proclameront demain SYLVIE N'AVAIT QUE DES AMIS. Parmi tous ces amis se trouve l'assassin de Sylvie