En fin d’année 2023, je m’étais fixé le challenge suivant : j’essaie la parité, et lire autant d’autrices que d’auteurs.
Si j’ai un peu oublié mes vœux en cours d’année, au moment des comptes, j’arrive à 84 autrices et 82 auteurs. C’est fait !
Alors certes, en comptant les livres (oui, j’ai lu pas mal de Simenon), ça n’est pas tout à fait ça. Et si je compte tous les auteurs et autrices (les secondaires, les illustrations, dessins, co-auteurs-trices…), là non plus. Mais zut, j’avais compté comme ça l’année passée et cette année, je fais la même chose !
196 livres, trente-six mille et quelques pages, 54 bandes dessinées et albums pour 142 écrits. Très majoritairement de la fiction avec 152 documents et 44 non-fiction (essais, biographies, documentaires…).
Une fin d’année magnifique avec Jérôme Ferrari qui plonge au cœur de la fierté des hommes avec son Nord Sentinelle. Brillant, stylé et fort drôle !
Graphiquement, Le voleur d’amour m’a impressionné par la qualité de ses aquarelles.
En octobre, ce furent Clémentine Mélois et Maude Ventura qui m’impressionnèrent par leur talent de conteuses. D’amour ou d’obsession, chacune dans leur registre, impressionnantes, donc !
Durant l’été, ce fut Claire Barré qui me fascina avec La ballade de Nitchevo.
Et finalement, au printemps, c’était Manu Larcenet qui déchirait tout avec La route.
Pour les autrices locales, Marie Beer et Laure Tuia m’ont régalé !
Et le challenge 2025 ? Allez, au moins un livre par continent en diversifiant les origines de mes lectures et continuer de rester proche de la parité femmes / hommes !