Sacré Jean !
Tu m’as ébloui avec l’horreur de Darling, poilé avec l’humour du Montespan, érotisé avec Héloïse et bluffé avec la noire drôlerie du magasin des suicides. Mais voilà, c’est fini.
C’est sûr, tu as écrit des bouses aussi et il m’est arrivé de ne plus te comprendre tant tu nous avais rendu exigeants. Mais resteront tes trésors et pour ceux là, mille et mille merci ! Ce sont des cadeaux que je chéris !
Salut Jean