Je viens d’entendre ta mort ce matin à la radio. Trop tard pour te dire merci.
J’ai découvert la littérature américaine grâce à toi à travers Moon Palace et ta trilogie new-yorkaise, ce fut un choc assez similaire à celui que je ressentis alors avec Kundera et depuis (bien maladroitement) vous étiez associés dans mon esprit.
Et tout comme avec lui, je t’ai petit à petit perdu, j’ai lâché 4321 et tant Invisible que Baumgartner ne réussirent à vraiment me toucher.
Alors, évidement trop tard, mais merci ! Merci pour tout !