Curieuses-eux, vous aimez l’art ? Vous ne prenez pas tout ça trop au sérieux ? Un petit peu de fiction (ou d’auto-fiction) ne vous déplaît pas ?
Art&Fiction est là pour vous !
Florence Grivel nous parle d’art avec amour et humour. Décalée et intime elle parle d’elle au travers d’œuvres, de voyages, de rencontres et d’anecdotes
Un petit voyage artistique de la Joconde à la Fontaine, doux, drôle et poétique
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Sous de faux airs de divagation autour de la formation artistique de l'auteure, "Sfumato" est un conte alchimique, un récit initiatique où la narratrice passe d'une quête de ses besoins vers celle de son désir. Dans une succession de vignettes visuelles et richement colorées, elle est tantôt déboussolée par son bagage d'historienne de l'art et tantôt orientée par des rencontres qui la prennent au dépourvu et qui lui indiquent que l'énergie vitale qu'elle cherche dans son commerce avec l'art n'est pas où elle le pense. D'une écriture enjouée, l'auteure s'échappe des salles de musée vers les collines toscanes, flâne au marché et plonge dans les eaux vivifiantes d'une plage marseillaise. Au passage, elle aura pris des nouvelles de Vermeer et de Duchamp, se sera souvenue de Rosemarie Castoro et d'Yves Klein, mais n'aura toujours pas vu "La Joconde" en vrai
Sous de faux airs de divagation autour de la formation artistique de l'auteure, "Sfumato" est un conte alchimique, un récit initiatique où la narratrice passe d'une quête de ses besoins vers celle de son désir. Dans une succession de vignettes visuelles et richement colorées, elle est tantôt déboussolée par son bagage d'historienne de l'art et tantôt orientée par des rencontres qui la prennent au dépourvu et qui lui indiquent que l'énergie vitale qu'elle cherche dans son commerce avec l'art n'est pas où elle le pense. D'une écriture enjouée, l'auteure s'échappe des salles de musée vers les collines toscanes, flâne au marché et plonge dans les eaux vivifiantes d'une plage marseillaise. Au passage, elle aura pris des nouvelles de Vermeer et de Duchamp, se sera souvenue de Rosemarie Castoro et d'Yves Klein, mais n'aura toujours pas vu "La Joconde" en vrai