Le temps des colères s’apaise. Celle du père et celle du fils. Et enfin, il devient possible de se voir, se reconnaître.
C’est beau comme le début d’un je t’aime.
Mais aussi le témoignage de la misère qui broie et avilit. Un réquisitoire contre les politiques qui stigmatisent les faibles et tailladent les aides sociales.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
"L'histoire de ton corps accuse l'histoire politique."
"L'histoire de ton corps accuse l'histoire politique."