Sous la pression des médias, du regard des autres et… finalement… de soi-même, il y a toujours un petit quelque chose à lui reprocher à ce corps pas si parfait
Le ventre, les cuisses, la culotte de cheval, les seins, les paupières… et ensuite et encore et après et… La liste est sans fin.
Un texte engageant (pièce de théâtre) sur les complexes et les injonctions à la beauté et à la perfection. Comme une guerre anatomique.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Ici un nez refait, là une cure de Botox, ailleurs un régime sans fin : partout les femmes demeurent soumises à cette implacable loi de la beauté, partout les canons établis les poussent à se mutiler, à endurer des privations, à mettre leur vie en danger. Parfois, et même souvent, de leur propre gré...
Après avoir su briser avec humour les derniers tabous concernant la sexualité féminine dans les désormais célèbres Monologues du vagin, Eve Ensler se penche avec la détermination et la drôlerie qu'on lui connaît sur la tyrannie du corps parfait.
Elle retrace le parcours de femmes d'horizons bien différents : la directrice d'un magazine féminin new-yorkais, une quinqua indienne sans complexes, une beurette boulimique. Toutes racontent leur aliénation, les diktats de l'apparence, leur soif de résistance ou au contraire leur abdication face aux exigences de la culture qui les a vues grandir. Entre deux récits, comme un fil conducteur, l'auteur invective savoureusement son ventre - qu'elle trouve toujours trop gras - et dénonce avec une franchise décapante la violence faite aux femmes
Ici un nez refait, là une cure de Botox, ailleurs un régime sans fin : partout les femmes demeurent soumises à cette implacable loi de la beauté, partout les canons établis les poussent à se mutiler, à endurer des privations, à mettre leur vie en danger. Parfois, et même souvent, de leur propre gré...
Après avoir su briser avec humour les derniers tabous concernant la sexualité féminine dans les désormais célèbres Monologues du vagin, Eve Ensler se penche avec la détermination et la drôlerie qu'on lui connaît sur la tyrannie du corps parfait.
Elle retrace le parcours de femmes d'horizons bien différents : la directrice d'un magazine féminin new-yorkais, une quinqua indienne sans complexes, une beurette boulimique. Toutes racontent leur aliénation, les diktats de l'apparence, leur soif de résistance ou au contraire leur abdication face aux exigences de la culture qui les a vues grandir. Entre deux récits, comme un fil conducteur, l'auteur invective savoureusement son ventre - qu'elle trouve toujours trop gras - et dénonce avec une franchise décapante la violence faite aux femmes