Une correspondance parfois à sens unique (comme toutes les conversations ?) et qui se retrouve et s’éloigne comme le bateau de Thomas Coville, à la recherche du record du tour du monde à la voile en solitaire et sans escales.
Des pensées universelles au milieu des calmes plats et des tempêtes
Une texte qui donne vie à des représentations de Jacques Gamblin où l’émotion des textes submerge les terres.
Une correspondance entre l'acteur J. Gamblin et le navigateur T. Coville commencée en 2014, alors que ce dernier, tentant de battre le record du tour du monde à la voile en solitaire à bord de son trimaran, se trouve immobilisé par l'anticyclone à Sainte-Hélène. L'échange épistolaire se poursuit jusqu'en 2016, année où il parvient, au bout de sa cinquième tentative, à accomplir cet exploit