Henri Désiré Landru

Génial ! J’ai dû aller vérifier. Je suis mystifié !

Henri Désiré Landru de Chabouté

Et si Henri Désiré Landru avait été la victime d’une grande escroquerie, doublée d’une machination politique ?

Une bande dessinée grand art, avec un dessin magnifique à la Chabouté et un scénario impressionnant !

… je doute encore

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Messieurs les jurés !!
Permettez-moi, en quelques mots, de dresser son portrait...


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
L'histoire vraie du premier tueur en série français

En 1922, Henri Désiré Landru est reconnu coupable de l'assassinat de 10 femmes et d'un homme. De la fumée nauséabonde se dégageait de la cheminée de sa villa de Gambais... On y a récupéré une cuisinière dont les tuyaux avaient beaucoup servi... Malgré deux ans d'instruction acharnée, personne ne réussit à faire reconnaître ses crimes à Landru... Il n'avoua rien. Aucun cadavre ne fut retrouvé...
Christophe Chabouté revisite cette période obscure de l'Histoire qui a défrayé la chronique, et où s'enchevêtrent le fait divers macabre et les séquelles d'une guerre atroce.

Au revoir là-haut

Des anti-héros contre d’odieux personnages, vils, mesquins, vénaux. Rien n’est propre et l’odeur est fréquemment insoutenable.

Au revoir là-haut de Pierre Lemaitre
Au revoir là-haut de Pierre Lemaitre

Et si les victimes pouvaient prendre leur revanche.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Pour le commerce, la guerre présente beaucoup d'avantages, même après. »

Sur les ruines du plus grand carnage du XXe siècle, deux rescapés des tranchées, passablement abîmés, prennent leur revanche en réalisant une escroquerie aussi spectaculaire qu'amorale. Des sentiers de la gloire à la subversion de la patrie victorieuse, ils vont découvrir que la France ne plaisante pas avec ses morts...

Fresque d'une rare cruauté, remarquable par son architecture et sa puissance d'évocation, Au revoir là-haut est le grand roman de l'après-guerre de 14, de l'illusion de l'armistice, de l'État qui glorifie ses disparus et se débarrasse de vivants trop encombrants, de l'abomination érigée en vertu.

Dans l'atmosphère crépusculaire des lendemains qui déchantent, peuplée de misérables pantins et de lâches reçus en héros, Pierre Lemaitre compose la grande tragédie de cette génération perdue avec un talent et une maîtrise impressionnants