Depuis des années, Sylvain Tesson s’amuse avec la mort, la croque et la caricature dans une circonstance très précise, celle qu’on se donne soi-même : le suicide.
Compilation de croquis, crayonnés et esquisses à l’humour très noir.
Une collection de pendus comme un exorcisme, une tentative de l’apprivoiser ou la volonté de la regarder droit dans les yeux !
Un assez gros livre quand même un peu léger
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Depuis trente ans, je dessine à la plume des croquis de pendus et de suicidés. Sur les routes, dans les cabanes, à bord des bateaux, j'ai couvert des milliers de feuilles.
La mort m'a épargné. Ma méthode est donc bonne.
Ces dessins n'ont rien de macabre.
Ils ont pour mission de me rappeler que je suis mortel. Dans le désordre de la vie, on aurait tendance à l'oublier. Je conjure le sort en écrivant, en dessinant.
Arrière la mort !
Depuis trente ans, je dessine à la plume des croquis de pendus et de suicidés. Sur les routes, dans les cabanes, à bord des bateaux, j'ai couvert des milliers de feuilles.
La mort m'a épargné. Ma méthode est donc bonne.
Ces dessins n'ont rien de macabre.
Ils ont pour mission de me rappeler que je suis mortel. Dans le désordre de la vie, on aurait tendance à l'oublier. Je conjure le sort en écrivant, en dessinant.
Arrière la mort !