Coconut, un titre qui explique tout le livre, le racisme et le besoin d’appartenance, les envies naïves et la dureté du quotidien.
Un journal de deux jeunes sud-africaines à Joburg post-apartheid, l’une plutôt aisée et l’autre issue d’un milieu bien moins favorisé, deux Coconut, noires dehors et blanches dedans…
Un livre un peu plat, lancinant… Mais où est la vie quand s’en va l’espoir, insidieusement…
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Entre Ofilwe, jeune fille de milieu aisé, et Fikile issue de la pauvreté, il n'est qu'un point commun : ce sont des coconuts, des gosses noires dehors et blanches dedans. Nées bien après l'Apartheid, ces deux adolescentes par ailleurs très différentes vivent chaque instant du jour en espérant trouver dans le regard des autres le reflet de ce qu'elles pensent être.
Au fil d'un dimanche dans un restaurant chic, les dérives parfois naïves de la pensée de ces filles ne tarderont pas à les confronter aux aléas du désespoir. Mais peut-il en être autrement aux portes de l'enfance, dans un monde où les certitudes et le confort sont en voie de disparition ?
Entre Ofilwe, jeune fille de milieu aisé, et Fikile issue de la pauvreté, il n'est qu'un point commun : ce sont des coconuts, des gosses noires dehors et blanches dedans. Nées bien après l'Apartheid, ces deux adolescentes par ailleurs très différentes vivent chaque instant du jour en espérant trouver dans le regard des autres le reflet de ce qu'elles pensent être.
Au fil d'un dimanche dans un restaurant chic, les dérives parfois naïves de la pensée de ces filles ne tarderont pas à les confronter aux aléas du désespoir. Mais peut-il en être autrement aux portes de l'enfance, dans un monde où les certitudes et le confort sont en voie de disparition ?