Hervé le Tellier a une une famille dysfonctionnelle, mais c’est la sienne. Alors, après avoir rapidement pris le parti d’en partir, il en parle enfin. Et tout doit sortir. C’est souvent drôle et pathétique. C’est bien raconté, mais au troisième grand oncle du côté maternel qui avait fait des crèpes à la chandeleur, un peu décroché, je l’avoue (je caricature).
Et finalement, il revient au début, à sa mère dysfonctionnelle et désormais malade. Et c’est très touchant.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Très jeune, j'ai compris que quelque chose n'allait pas, très tôt j'ai voulu partir, et d'ailleurs très tôt je suis parti.
Un enfant n'a parfois que le choix de la fuite ; il devra à son évasion, au risque de la fragilité, d'aimer plus fort encore la vie. »
« Très jeune, j'ai compris que quelque chose n'allait pas, très tôt j'ai voulu partir, et d'ailleurs très tôt je suis parti.
Un enfant n'a parfois que le choix de la fuite ; il devra à son évasion, au risque de la fragilité, d'aimer plus fort encore la vie. »