Sébastien Gnaedig s’est approprié l’excellent roman (ou autofiction pourrait-on dire) de Sorj Chalandon. Et si le scénario m’a semblé absolument fidèle à mes souvenirs (avec cette très bonne idée de la transposition du journaliste au dessinateur), le dessin au trait m’a perdu.
Des personnages désincarnés aux émotions absentes qui m’ont laissé froid
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Mais de quel droit ils demandent ça ?
Qu'est-ce que ça peut bien leur foutre, ma profession ?
Écris la vérité : agent secret.
Ce sera dit.
Et je les emmerde. »
« Sébastien Gnaedig s'est emparé de mon histoire. Alors voilà : Profession du père.
Et l'émotion que j'ai ressentie à la découverte de la mère, du père et du fils vus par un autre que moi.
"Mon Dieu, le pauvre gosse !", j'ai murmuré en tournant ces pages.
Le dessinateur avait donné vie à Émile.
Tout en protégeant le gamin que j'étais. »
« Mais de quel droit ils demandent ça ?
Qu'est-ce que ça peut bien leur foutre, ma profession ?
Écris la vérité : agent secret.
Ce sera dit.
Et je les emmerde. »
« Sébastien Gnaedig s'est emparé de mon histoire. Alors voilà : Profession du père.
Et l'émotion que j'ai ressentie à la découverte de la mère, du père et du fils vus par un autre que moi.
"Mon Dieu, le pauvre gosse !", j'ai murmuré en tournant ces pages.
Le dessinateur avait donné vie à Émile.
Tout en protégeant le gamin que j'étais. »