Pris dans les Maigret, je me rends gentiment compte des schémas utilisés par Simenon. Toujours assez similaires dans leurs constructions.
Ici, Maigret s’arrête chez un vieil ami en retour de congrès, le temps pour lui de démêler une affaire de meurtres dans une petite ville de province.
Comme d’habitude, le commissaire (et pratiquement tous les protagonistes font de même) boit beaucoup. Mais quand même… Vraiment beaucoup, finalement.
Tiens, existe-t-il un classement de tous les Maigret en quantité d’alcool ingurgité ?
Mais… Peur de quoi, au fait ?
Le Petit Train sous la pluie
Tout à coup, entre deux petites gares dont il n'aurait pu dire le nom et dont il ne vit presque rien dans l'obscurité, sinon des lignes de pluie devant une grosse lampe et des silhouettes humaines qui poussaient des chariots, Maigret se demanda ce qu'il faisait là.
Le Commissaire Maigret passe quelques jours de vacances chez un vieil ami, juge d'instruction d'une petite ville de province. Deux crimes viennent d'y être commis, avec la même arme. Les victimes font partie des notables de la ville, et la population est en émoi. Des comités se forment, et les soupçons se concentrent sur un membre d'une grande famille de la région.
La présence de Maigret ne passe pas inaperçue, et ce dernier a du mal à convaincre ses interlocuteurs qu'il n'est là que par hasard. Il aidera cependant son ami, dont les proches sont touchés par l'affaire, à résoudre l'énigme. Toute la finesse et l'habileté de Maigret seront nécessaires à démasquer le coupable