Un petit peu feel-good, un peu mélo, tendre et délicat, drôle et humain, à un joli petit livre qui fait un peu sourire et un peu pleurer.
Court et délicieux comme un petit chocolat un peu trop sucré
L’histoire d’une petite vieille, Baba Dounia, icône d’une sagesse rurale aujourd’hui disparue, vivant à Tchernovo, dans la zone d’exclusion post-catastrophe du réacteur
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, les alentours de la centrale désaffectée se repeuplent clandestinement : Baba Dounia, veuve solitaire et décapante, entend bien y vieillir en paix. En dépit des radiations, son temps s'écoule en compagnie d'une chaleureuse hypocondriaque, d'un moribond fantasque et d'un centenaire rêvant d'amour.
Mais qui est l'auteur de la lettre à Baba Dounia, écrite dans une langue qu'elle ne comprend pas ?
D'une plume à la fois malicieuse et implacable, Alina Bronsky invente la comédie humaine post-cataclysmique
Après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, les alentours de la centrale désaffectée se repeuplent clandestinement : Baba Dounia, veuve solitaire et décapante, entend bien y vieillir en paix. En dépit des radiations, son temps s'écoule en compagnie d'une chaleureuse hypocondriaque, d'un moribond fantasque et d'un centenaire rêvant d'amour.
Mais qui est l'auteur de la lettre à Baba Dounia, écrite dans une langue qu'elle ne comprend pas ?
D'une plume à la fois malicieuse et implacable, Alina Bronsky invente la comédie humaine post-cataclysmique