Camiothécaire-biblioneur aux lectures éclectiques. Romans, essais, biographies et autobiographies, récits de voyage, bandes dessinées, nouvelles, chroniques, témoignages… des critiques selon l'humeur
Le soir de réveillon, toutes ses femmes sont là, mais Vittorio ne vient pas.
Le livre, donnant la voix à chacune, dresse des portraits teintés de jalousies et de rancœurs, de regrets et d’incompréhensions.
Une construction sympa et bien menée qui, hélas tend à s’épuiser rapidement…
… pour un rebondissement final bienvenu mais qui m’a semblé un peu bricolé
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Milan. Le soir de Noël. La mère, la soeur, la femme, l'ex-femme, l'amante et les deux filles de Vittorio attendent en vain cet écrivain à la carrière déclinante. Une enquête pour disparition est ouverte. Au fil des mois, un nouvel équilibre vient régir les rapports entre ces femmes. Chacune des protagonistes narre son histoire avec l'absent
Chick-lit, pop-lit ou feel-good… difficile de coller une étiquette très claire sur ce portrait en miroir de deux femmes sur une terrasse. Deux femmes dont on suit les pensées, les envies, les frustrations, les bonheurs, les errances, les jalousies et les échecs…
C’est en tout cas absolument drôle, facile à lire et plus profond qu’une simple blagounette
Un brillant premier roman à la construction remarquable !
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Paris, une terrasse de café ensoleillée.
C'est l'heure du déjeuner, les gens font la queue. Les salades sont immangeables, une tasse de thé coûte huit euros, le personnel est abject. Mais les gens font la queue.
Une jeune provinciale est attablée, seule. À ses côtés, une Parisienne attend son amoureux qui tarde à la rejoindre.
Deux femmes qui n'ont a priori rien en commun. Si ce n'est que l'une et l'autre se regardent, se jaugent, se moquent.
Peut-on parler fort, ne jamais sourire, et porter un panier en osier avec autant d'assurance et d'aplomb ? se demande la première. Peut-on boire un verre de vin en trinquant... avec soi-même, et sembler heureuse malgré tout ? se demande la seconde.
Mais sont-elles si différentes ? Et qui sont-elles pour se juger si durement ?
Charlotte Gabris s'amuse ici de la rivalité féminine avec malice.
Et si nous essayions, nous aussi, de déjeuner en paix ?
Pour les amateurs du genre, un roman historique comme une invitation à Venise.
Pensez à réserver votre chambre avant de commencer la lecture
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) Benedetto alerta son frère aussitôt qu'il apprit la nouvelle. Véronèse, enroulé dans ses draps de lin, ouvrit un œil méfiant.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) « Tout était dévasté, consumé, calciné. C'est de cet enfer qu'allait renaître le Paradis. »
Dans le décor spectaculaire de la Venise renaissante, l'immense toile du Paradis devient un personnage vivant, opposant le génie de Véronèse, du Tintoret et des plus grands maîtres de la ville. Entre rivalités artistiques, trahisons familiales, déchirements politiques, Clélia Renucci fait revivre dans ce premier roman le prodige de la création, ses vertiges et ses drames
C’est parfois drôle et tendre et à d’autres instants, c’est glauque et sordide. 40 histoires de femmes, 40 portraits autour de la complicité ou de la rivalité, de l’amour ou de la répulsion, des envies ou du dégout.
Peu d’hommes dans ce recueil de nouvelles très courtes qui pourtant, ouvrent toutes sortes de portes sur un monde, une relation, un début, une histoire…
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Mère, amie, amoureuse, rivalités, fidélités, complicités... quarante portraits de femmes qui vont vous rappeler quelqu'une