Camiothécaire-biblioneur aux lectures éclectiques. Romans, essais, biographies et autobiographies, récits de voyage, bandes dessinées, nouvelles, chroniques, témoignages… des critiques selon l'humeur
Un viol, un inceste ou un abus sur un-e enfant est plus qu’un crime. C’est une saloperie qui va marquer une vie, des vies même, des familles entières. Les broyer de noir, de colère et de culpabilité.
Un livre remarquable qui décrit la lente destruction d’une familia grande, une nomenklatura bobo intello de gauche dans laquelle tout semblait permis, joyeux et festif…
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) C'est le récit incandescent d'une femme qui ose enfin raconter ce qui a longtemps fait taire la familia grande
Des fois, on passe à côté, on se dit qu’il faudrait laisser une chance, un doute… Mais même, je n’ai pas trouvé grand chose dans ce petit livre, si ce n’est une couverture séduisante.
Dommage, les parents décédés de Ethan qui l’appellent pour dire qu’ils pensent à sa sœur tous les jours alors qu’il se croyait fils unique… Voilà un joli point de départ pour une quête aux milles espérances. Mais non, ce petit livre s’essouffle bien vite.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) En pleine nuit, Ethan reçoit un appel téléphonique étrange. Au bout du fil, il reconnaît la voix de ses parents disparus depuis deux ans. Après avoir pris de ses nouvelles, sa mère raccroche sur ces mots : « Dis à ta soeur qu'on pense à elle tous les jours. » Le problème, c'est qu'Ethan est fils unique.
C'est le début d'une folle aventure.
Un secret de famille tombé du ciel. Un compositeur de chansons. Des nuits parisiennes et le vacarme de la solitude. Une décision à prendre. Une fille au bout de la route. Deux pom-pom girls originaires de Tchéquie. Une fête monstre sur la route de Mons. Une tarte au riz partagée avec le fantôme d'une star du rock. De la porcelaine anglaise. Comme est la vie. Fragile et robuste à la fois. Et une ode à l'amour au tournant de chaque page
La chronique d’une mort annoncée, un peu pompeuse, terroir et myriflamboyaexatatique.
Aaaah, l’amour, l’amour…
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) « Si tu ne t'enfuis pas à tout jamais de cette ville, ton sang se répandra bientôt sur le sable. Tu as vécu un seul amour, un bel amour, et tu n'en connaîtras jamais d'autre. »
Le nouveau roman de l'auteur de Neige possède la beauté rouge et or des tragédies antiques.
À Aigues-Mortes, où l'on vit du sel, de la vigne ou des arènes, le ténébreux Valentin Sol, face au taureau, est le meilleur des « raseteurs ». Depuis toujours, il aime la fille du boulanger, la blonde Isoline, dont le père s'oppose mystérieusement à leur mariage.
À trois heures de l'après-midi, sous le soleil implacable de la Camargue, le destin des amants va se jouer. Inexorable
K.O.!
Féroces de Robert Goolrick m’a laissé complètement groggy!
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler.
C'étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l'esprit.
Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c'était la seule chose qu'ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d'ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker.
Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l'extérieur de ce qui se passe à la maison. À la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces