Darling

Après le pire du pire, c’est encore pire. Et pourtant, c’est du tout meilleur Teulé. Inspiré et sordide jusqu’à la nausée. Un témoignage évidement tellement vrai qu’on ne pourrait l’imaginer.

Darling de Jean Teulé
Darling de Jean Teulé
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Elle voulait qu'on l'appelle « Darling ».

Elle y tenait !

Pour oublier les coups reçus depuis l'enfance, les rebuffades et les insultes, pour effacer les cicatrices et atténuer la morsure des cauchemars qui la hantent. Elle voulait que les autres entendent, au moins une fois dans leur existence, la voix de toutes les « Darling » du monde.

Elle a rencontré Jean Teulé.

Il l'a écoutée et lui a écrit ce roman.

Un livre unique

La ballade de Rikers Island

On peut trouver quelques coins sordides dans la ballade de Rikers Island de Régis Jauffret.

La ballade de Rikers Island de Régis Jauffret
La ballade de Rikers Island de Régis Jauffret
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Ce roman relate des événements qui se sont déroulés au début du XXIe siècle. Le président d'une institution financière internationale est accusé de viol par une femme de chambre d'origine africaine. Il est incarcéré pendant quelques jours dans une prison du continent américain. Libéré sous caution, les poursuites sont finalement abandonnées. À la suite de cet incident, sa carrière est brisée et son épouse demande le divorce. Une histoire anodine. Seule la célébrité dont semblait jouir l'accusé à cette époque a pu pousser quelqu'un à s'en emparer.

Cette affaire s'est effacée des réseaux avec le temps. Quelques copeaux d'articles de presse nous amènent cependant à supposer un fond de réalité à ce récit dont un exemplaire a été exhumé intact du fond d'un gouffre. Si vous êtes contemporain des faits dont il s'inspire, c'est peut-être celui que vous tenez entre vos mains

Claustria

Infect! Peut-être pas indispensable. A lire avec des sacs à vomi.
Brrr sordide.

Claustria de Régis Jauffret
Claustria de Régis Jauffret
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Platon, le mythe de la caverne. Des prisonniers qui ne verront jamais de la réalité que des ombres d'humains projetées sur la paroi de la grotte où ils sont enchaînés. Dans le souterrain les enfants n'ont vu de l'extérieur que les images tombées du ciel qui leur parvenaient par le câble de l'antenne.

Le mythe a traversé vingt-quatre siècles avant de s'incarner dans cette petite ville d'Autriche avec la complicité d'un ingénieur en béton et celle involontaire de l'Écossais John Baird qui inventa le premier téléviseur en 1926.

R. J.