Si j’imagine que le roman en 1963 a dû paraître impressionnant, il faut dire qu’il a un petit peu vieilli quand même. De plus, difficile de le prendre avec distance, tant les reprises cinématographiques ont modelé mon inévitable à priori.
Reste qu’à sa lecture, il est facile de comprendre pourquoi il a tant fasciné les réalisateurs par son génial scénario et toutes les analogies qu’il met en évidence par ce miroir (pas si déformant que ça) qui nous renvoie une bien sale image de notre humanité.
La planète des singes, un livre qui ne se présente plus et dont l’adaptation avec le flingueur Charlton Heston est assez fidèle malgré une fin qui m’avait semblée plus bien plus aboutie et fantastique sur grand écran
Jinn et Phyllis passaient des vacances merveilleuses, dans l'espace, le plus loin possibles des astres habités.
Y a-t-il des êtres humains ailleurs que dans notre galaxie ? C’est la question que se posent les trois passagers d’un vaisseau spatial survolant une planète proche de Bételgeuse : on y aperçoit des villes, des routes curieusement semblables à celles de notre Terre. Après s’y être posés, les voyageurs découvrent que cette planète est habitée par des singes qui vont les capturer et les soumettre à diverses expériences. Il leur faudra, devant ces singes, faire la preuve de leur humanité...