C’est rude, mais pas misérabiliste, le ton est juste. Mais c’est dur, vraiment !
Tous les jours, se battre, seule, pour son fils et pour soi. Impossible d’être malade, de payer un avocat, de trouver du temps pour soi…
Et la recherche d’un peu d’air. Pas même un bol, un brise, un souffle.
A lire même juste pour les commentaires sur Internet. Tellement inappropriés, sales, condescendants, humiliants… Criants de vérité !
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Et l'enfant ?
Il dort, il dort.
Que peut-il faire d'autre ? »
Une jeune mère célibataire s'occupe de son fils de deux ans. Du matin au soir, sans crèche, sans famille à proximité, sans budget pour mie baby-sitter, ils vivent une relation fusionnelle. Pour échapper à l'étouffement, la mère s'autorise à fuguer certaines nuits. À quelques mètres de l'appartement d'abord, puis toujours un peu plus loin, toujours un peu plus tard, à la poursuite d'un semblant de légèreté.
Comme la chèvre de Monsieur Seguin, elle tire sur la corde, mais pour combien de temps encore ?
« Et l'enfant ?
Il dort, il dort.
Que peut-il faire d'autre ? »
Une jeune mère célibataire s'occupe de son fils de deux ans. Du matin au soir, sans crèche, sans famille à proximité, sans budget pour mie baby-sitter, ils vivent une relation fusionnelle. Pour échapper à l'étouffement, la mère s'autorise à fuguer certaines nuits. À quelques mètres de l'appartement d'abord, puis toujours un peu plus loin, toujours un peu plus tard, à la poursuite d'un semblant de légèreté.
Comme la chèvre de Monsieur Seguin, elle tire sur la corde, mais pour combien de temps encore ?