Nina Bouraoui parle de son enfance en Algérie, de son arrivée en France, de sa mère et de sa famille, de son homosexualité, du milieu lesbien parisien…
Un livre entre souvenir et devenir dont je ne me rappellerais pas forcément
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« J'écris les travées et les silences, ce que l'on ne voit pas, ce que l'on n'entend pas. J'écris les chemins que l'on évite et ceux que l'on a oubliés. J'étreins les Autres, ceux dont l'histoire se propage dans la mienne, comme le courant d'eau douce qui se déverse dans la mer. Je fais parler les fantômes pour qu'ils cessent de me hanter. J'écris parce que ma mère tenait ses livres contre sa poitrine comme s'ils avaient été des enfants. »
Avec Tous les hommes désirent naturellement savoir, Nina Bouraoui signe un roman envoûtant sur les origines du désir et de la violence
« J'écris les travées et les silences, ce que l'on ne voit pas, ce que l'on n'entend pas. J'écris les chemins que l'on évite et ceux que l'on a oubliés. J'étreins les Autres, ceux dont l'histoire se propage dans la mienne, comme le courant d'eau douce qui se déverse dans la mer. Je fais parler les fantômes pour qu'ils cessent de me hanter. J'écris parce que ma mère tenait ses livres contre sa poitrine comme s'ils avaient été des enfants. »
Avec Tous les hommes désirent naturellement savoir, Nina Bouraoui signe un roman envoûtant sur les origines du désir et de la violence